AveMaria44
Révolution n'est pas un mot chrétien. Le problème de l’État fasciste c'est l'idolâtrie de l’État...derrière Pétain il y avait malheureusement la Synarchie, pas vraiment catholique. La seule solution est évidemment le Christ-Roi, des intelligences, des cœurs, des familles.....le retour de la France aux promesses de son baptême.
Catholique et Français
Le maréchal Pétain, quoique encore éloigné de la Foi de son enfance, était très favorable au Catholicisme dont il savait très bien, avec son intelligence supérieure, qu'il était absolument indispensable au redressement de la France. Savez-vous que le maréchal a été personnellement sollicité pour enfin répondre aux demandes du Sacré-Coeur de 1689 ? Hélas, mille fois hélas, il n'a pas donné …Plus
Le maréchal Pétain, quoique encore éloigné de la Foi de son enfance, était très favorable au Catholicisme dont il savait très bien, avec son intelligence supérieure, qu'il était absolument indispensable au redressement de la France. Savez-vous que le maréchal a été personnellement sollicité pour enfin répondre aux demandes du Sacré-Coeur de 1689 ? Hélas, mille fois hélas, il n'a pas donné suite à cette sollicitation... Lorsque le maréchal a reçu le pouvoir le 17 juin 1940, au milieu du chaos, le païen Charles Maurras a parlé de "Divine Surprise" : la grande Demande du Sacré-Coeur au chef de l'état français est du... 17 juin 1689 ! Curieux, non ?
AveMaria44
Oui, mais je distingue le Maréchal favorable au catholicisme et un entourage varié et peu catholique. La révolution nationale de plus se faisait sous la botte de l'ordre noir....
Catholique et Français
C'est vrai mais on peut imaginer qu'un État Français enfin consacré au Sacré-Coeur, s'appuyant sur le Christ-Roi et l'aile catholique de Vichy aurait finalement évincé la Synarchie et les crypto-maçons, permettant ainsi à une France ressuscitée de jouer un rôle majeur dans les années 1944-1945 et modifiant même le cours de l'histoire de l'après-guerre pour prendre, aidée de Franco, Salazar, …Plus
C'est vrai mais on peut imaginer qu'un État Français enfin consacré au Sacré-Coeur, s'appuyant sur le Christ-Roi et l'aile catholique de Vichy aurait finalement évincé la Synarchie et les crypto-maçons, permettant ainsi à une France ressuscitée de jouer un rôle majeur dans les années 1944-1945 et modifiant même le cours de l'histoire de l'après-guerre pour prendre, aidée de Franco, Salazar, Pie XII etc.., la tête d'une vraie "Libération".
AveMaria44
Oui, on peut imaginer beaucoup de choses....comme disait ma grand-mère avec des si on peut mettre Paris en bouteille.....Aujourd'hui nous avons François allié et complice du NOM, les GAFA; les banksters et bientôt l'esclavage technologique.......
Catholique et Français
"On peut imaginer beaucoup de choses et mettre Paris en bouteille avec des si", c'est très vrai avec cette réserve capitale que les Promesses du Sacré-Coeur, confirmées à plusieurs reprises (la dernière fois en 1936), ce ne sont pas des "imaginations" ou des rêves, mais des Promesses. Et Dieu tient toujours ses Promesses... Peut-être, sauf si je vous ai mal compris, commettez-vous l'erreur grave …Plus
"On peut imaginer beaucoup de choses et mettre Paris en bouteille avec des si", c'est très vrai avec cette réserve capitale que les Promesses du Sacré-Coeur, confirmées à plusieurs reprises (la dernière fois en 1936), ce ne sont pas des "imaginations" ou des rêves, mais des Promesses. Et Dieu tient toujours ses Promesses... Peut-être, sauf si je vous ai mal compris, commettez-vous l'erreur grave de croire que les évènements qui ont clôturé et suivi la 2° Guerre Mondiale étaient inéluctables et que l'histoire ne pouvait suivre un cours différent. Notre-Dame de Fatima est d'ailleurs la première à utiliser le "si" et pas pour "mettre Paris en bouteille", comme vous dites : "SI l'on écoute mes Demandes etc..."
AveMaria44
On peut imaginer et désirer que la France se convertisse et obéisse aux promesses du Sacré-Coeur. Même Dieu ne peut pas faire que ce qui a été ne soit pas. Si Louis XIV avait obéit......Il nous faut maintenant faire face aux problèmes du jour et la tâche n'est pas mince.