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Mariologue célèbre qui n'aime pas le titre de Co-Rédemptrice : Tucho s'est trompé, incompétent, trop radical

Le Père Salvatore Perrella OSM, célèbre mariologue, a déclaré à Rsi.ch le 20 novembre que la note de Tucho sur le titre de Co-Rédemptrice est controversée et suscite le débat.

Personnellement, il n'aime pas le titre "Co-Redemptrix", mais en tant que théologien, il ne peut ignorer le fait qu'il apparaît également dans le magistère post-conciliaire.

Il n'aurait jamais qualifié ce titre de "toujours inapproprié", comme l'a fait Tucho. "Je suis favorable à l'approche intelligente de Lumen Gentium, qui ne stigmatise ni n'adopte sans critique la terminologie antérieure.

"De plus, j'ai l'impression que la note est dominée par des préoccupations œcuméniques. Et c'est un faux pas". Une telle préoccupation ne devrait pas dominer, ajoute-t-il.

En outre, le père Perrella qualifie la note d'"excessivement longue" et de "contraire au magistère romain, qui a toujours été marqué par la sobriété et la concision".

Il poursuit : "Bien que le document soit vaste et étendu, il manque de mémoire historique.

Le P. Tucho s'est exprimé "de manière trop radicale". La note est "trop monophysite" et contient des perles peu précieuses, analyse le P. Perrella. "Je crois que le document aurait dû être mieux repensé et affiné, et surtout s'appuyer sur des études menées par des personnes compétentes."

Quant à l'affirmation de Tucho selon laquelle les papes récents étaient "préoccupés" par les titres mariaux, Perrella n'est pas d'accord. "Il ne me semble pas que les papes se soient préoccupés de cela. Leur préoccupation était la réception immédiate de Lumen Gentium et du Concile".

M. Perrella souligne une préoccupation vraiment urgente : "Aujourd'hui, beaucoup ne croient plus à la Trinité ou à la Divinité du Christ."

Traduction de l'IA
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Panetier

Le pornographe du Pape. Tucho n’a pas écrit que sur le baiser. Il s’est aussi « penché » sur l’orgasme
Par Tucho, on connaissait un.../ livre très discutable, Saname con tu boca, consacré à « l’art du baiser », un ouvrage de 1995 que l’auteur, surnommé depuis lors Tucho besame mucho, avait fait passer pour un épisode isolé, né de motivations « pastorales ». Mais voilà que surgit cet autre ouvrage, écrit en 1998, alors que Tucho était curé de paroisse en Argentine. Un livret qui, sous des prétextes « spirituels », non seulement se consacre à une analyse méticuleuse de l’orgasme masculin et féminin et non seulement a un contenu blasphématoire, mais va jusqu’à légitimer les rapports homosexuels en affirmant qu’ils ne sont pas un péché.
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