Agnès Buzyn, la malfaisante

Agnès Buzyn, la malfaisante

Agnès Buzyn, personnage-clé mais discret de la “macronie”, mérite d'être mise en lumière tant son action comme ministre des Solidarités et de la Santé est malfaisante. Sous des dehors policés, cette femme est implacable dans son œuvre destructrice aux racines profondes. Née le 1er décembre 1962, fille d'Elie et d'Etty Buzyn ,chirurgien orthopédiste et psychanalyste, le premier issu d'une famille juive de Lodz, elle se dit même : « je suis une immigrée de la première génération. »

Très jeune, la frénésie du pouvoir la saisit, pour ne jamais l'abandonner, de mauvaises fées se penchant sur elle la propulsant toujours plus haut. En 1985, elle épouse Pierre-Antoine Veil, fils de Simone, ce qui explique son look BCBG associé à des convictions mortifères. Si elle divorce après la naissance de trois enfants, elle reste très liée au clan Veil et à ses réseaux. En 1997, elle convole avec Yves Lévy, un collègue, professeur en hématologie et se lance à l'assaut du pouvoir technocratico-politique, peu soucieuse de l'étiquette. « Je ne sais pas si je suis très à gauche, mais au fond j'ai servi des gouvernements de droite comme de gauche avec la même loyauté. » Quel cynisme : associer loyauté et nomadisme politique... Pour preuve, Jean-Louis Borloo la propose pour la présidence du conseil d'administration de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire en 2008 et Roselyne Bachelot la propulse à la télévision lors de la catastrophe de Fukushima. Un autre ressort anime madame Buzyn : l'appât du gain. Celle qui, interrogée sur les dépassements d'honoraires des médecins, disait « j'ai cela en horreur », a pourtant un rapport pathologique à l'argent.

Au long de sa carrière, elle cumule les présidences et postes d'administrateur : Institut National du cancer, Haute Autorité de Santé, Etablissement des Greffes, Agence de Biomédecine, Etablissement français du sang...

A ses traitements de médecin hospitalier et de professeur de médecine s'ajoutent les indemnités et défraiements. Quoi de plus normal me direz-vous ? Sauf que cette dame ajoute des revenus plus discutables, compte-tenu de ses fonctions. De 1998 à 2011, elle organise un congrès annuel sur la greffe de moelle ; tâche rémunérée par le laboratoire Genzyme. De 2005 à 2011, elle touche de l'argent de multinationales du médicament (Novartis, Bristol-Myers-Squibb) pour intervenir dans des congrès, alors même qu'elle exerçait des fonctions au sein d'organismes publics. Des esprits certainement chagrins y ont vu un conflit d'intérêt. Madame Butin, comme l'ont surnommée de mauvaises langues, sait défendre bec et ongle le budget conjugal. Yves Lévy, son mari, dirige l'INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) à partir de 2014. Logiquement lors de l'accession de sa femme au poste de ministre, il aurait dû démissionner car elle était l'autorité de tutelle de l'organisme qu'il présidait. Que nenni ! Une tentative de masquage du conflit d'intérêt est alors bricolée, en instituant un déport ponctuel pour les décisions concernant l'INSERM, alors que la logique aurait été une démission ou un changement de tutelle.

En 2018, les allées du pouvoir ont bruissé du chantage à la démission d'Agnès Buzyn exigeant le renouvellement du mandat de son mari. Reconduit par intérim le 11 juin 2018, il doit retirer sa candidature le 30 juillet devant le tollé. C'est fort opportunément que Gilles Bloch est nommé. Bien entendu tout se paie et Yves Lévy obtient un lot de consolation en espèces sonnantes et trébuchantes : une nomination le 11 octobre 2018 comme conseiller d'Etat en service extraordinaire, rémunéré de 1 500 à 6 100 euros par mois, selon les avis rendus. Ces sommes sont à ajouter au traitement de médecin, chercheur et enseignant. A ce poste, il est invité à conseiller juridiquement le gouvernement, alors qu'il n'a pas fait d'études de droit. Chapeau l'artiste !

L'avidité de Madame Buzyn l'amène à être le fer de lance ou l'otage des lobbys, notamment pharmaceutiques. Alors qu'officiellement elle plaide pour l'assagissement des prix des médicaments, en coulisse elle œuvre pour l'augmentation du chiffre d'affaires des multinationales. Son copinage, elle l'assume, déclarant en février 2013, lors d'une réunion organisée par un cabinet de lobbying : « l'industrie pharmaceutique joue son rôle et je n'ai jamais crié avec les loups sur cette industrie. » Elle prône même la fin de l'indépendance des experts chargés de l'évaluation des médicaments : « il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l'industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts... les liens d’intérêts entre experts et laboratoires sont un gage de compétence. »

On comprend ainsi son activisme en imposant le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les enfants. Son amie Roselyne Bachelot avait, quant à elle, acheté par millions des doses de vaccins contre la grippe H1N1, restées sur les bras des autorités sanitaires. Dans le même temps elle dérembourse l'homéopathie pour des raisons financières mais s'apprête à financer la PMA pour toutes, avant la GPA. Engluée dans sa complaisance pour les firmes internationales, elle sacrifie les sociétés françaises, comme BOIRON, leader de l'homéopathie, et déteste les particularités nationales. En juin 2015 elle ose évoquer des « parlementaires qui obéissent à des lobbys très puissants et très bien installés en France, ceux des producteurs de vin. » Son soutien à « la fortune anonyme et vagabonde », selon l'expression d'Henry Coston, ne peut s'exercer que dans le cadre et avec le soutien de réseaux, notamment le premier d'entre eux, la maçonnerie. Cette dernière s'exprime de façon puissante à travers les organismes mutualistes. Commentoublier Michel Baroin, père de François, grand-maître du Grand Orient de France, patron de la GMF et mort mystérieusement dans un accident d'avion ? Le directeur de cabinet d'Agnès Buzyn se nomme Gilles de Mar- gerie, énarque, ancien des cabinets Fauroux à l'industrie et Rocard, comme chargé des affaires industrielles, mais surtout, au moment de sa nomination en 2017, directeur général-adjoint du groupe HUMANIS, le 3e groupe de protection sociale paritaire, devenu par son mariage avec MALAKOFF-MEDERIC le leader français. En phase avec MadameBuzyn, Thierry Beaudet, président de la mutualité Française, déclare dansLibération, le 8 juillet 2019 : « Nous sommes évidemment favorables à ce que la PMA soit accessible à toutes et remboursée par l'assurance-maladie et les mutuelles. »

Agnès Buzyn agit main dans la main avec les « frères mutualistes », faisant notamment la promotion des dispositifs de la réforme dite « 100 % santé » qui aboutit à sacrifier praticiens et auxiliaires médicaux libéraux sur l'autel collectiviste. Madame le ministre n'est pas seulement une alliée économique de la maçonnerie. Elle est aussi et surtout à la pointe de leurs combats sociétaux, digne héritière de sa belle-mère Simone Veil, à qui elle voue une admiration voire un véritable culte. Ses déclarations fragilisent, voire remettent en cause l'objection de conscience des médecins refusant de pratiquer des avortements. Tandis qu'en mars 2019, le docteur de Rochambeau, président du principal syndicat de gynécologues-obstétriciens, évoque une éventuelle grève des IVG, Agnès Buzyn hurle à la « prise d'otage des femmes » et au « caractère inadmissible de la mesure ». Curieusement, dès le 5 avril 2019, encouragé par la parole ministérielle, l'ordre des médecins engage des poursuites disciplinaires contre le docteur de Rochambeau et deux autres praticiens pour atteinte à la déontologie médicale.

Dans le même registre, la sinistre Buzyn trouve comme seul angle d'attaque contre François-Xavier Bellamy, tête de liste LR aux élections européennes, non pas son programme, mais ses positions sur les questions morales, qu'elle qualifie d'« archaïsmes datant d'un autre siècle. » S'agit-il d'une expression d'aigreur de ne pas avoir été désignée comme chef de file LREM pour les dites élections, malgré des soutiens de poids, comme François Bayrou ? Les fondements maçonniques de son action s'illustrent aussi dans ses prises de position sur la fin de vie. Le 3 octobre 2015, dans le cadre d'un colloque du Grand Orient (dit) de France, intitulé « la fin de vie des enfants » — tout un programme — elle déclare : « je suis en faveur de l'espace de liberté belge », c'est-à- dire de la dépénalisation de l'euthanasie. N'a-t- elle pas œuvré en ce sens en poussant l'Etat au pourvoi en cassation contre l'arrêt de la Cour d'appel de Paris qui, comme l'ONU, exigeait le maintien de l'hydratation et de la nutrition de Vincent Lambert ? Vraiment AgnèsBuzyn est une étoile noire de la galaxie macronienne.

Docteur Louis PÉRENNA
x22y4 shares this
216
Agnès Buzyn, la malfaisante
Agnès Buzyn, la malfaisante
Agnès Buzyn, personnage-clé mais discret de la “macronie”, mérite d'être mise en lumière tant son action comme ministre des Solidarités et de la Santé est malfaisante. Sous des dehors policés, cette femme est implacable dans son œuvre destructrice aux racines profondes. Née le 1er décembre 1962, fille d'Elie et d'Etty Buzyn ,chirurgien …More
Agnès Buzyn, la malfaisante

Agnès Buzyn, la malfaisante

Agnès Buzyn, personnage-clé mais discret de la “macronie”, mérite d'être mise en lumière tant son action comme ministre des Solidarités et de la Santé est malfaisante. Sous des dehors policés, cette femme est implacable dans son œuvre destructrice aux racines profondes. Née le 1er décembre 1962, fille d'Elie et d'Etty Buzyn ,chirurgien orthopédiste et psychanalyste, le premier issu d'une famille juive de Lodz, elle se dit même : « je suis une immigrée de la première génération. »

Très jeune, la frénésie du pouvoir la saisit, pour ne jamais l'abandonner, de mauvaises fées se penchant sur elle la propulsant toujours plus haut. En 1985, elle épouse Pierre-Antoine Veil, fils de Simone, ce qui explique son look BCBG associé à des convictions mortifères. Si elle divorce après la naissance de trois enfants, elle reste très liée au clan Veil et à ses réseaux. En 1997, elle convole avec Yves Lévy, un collègue, professeur en hématologie et se lance à l'assaut du pouvoir technocratico-politique, peu soucieuse de l'étiquette. « Je ne sais pas si je suis très à gauche, mais au fond j'ai servi des gouvernements de droite comme de gauche avec la même loyauté. » Quel cynisme : associer loyauté et nomadisme politique... Pour preuve, Jean-Louis Borloo la propose pour la présidence du conseil d'administration de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire en 2008 et Roselyne Bachelot la propulse à la télévision lors de la catastrophe de Fukushima. Un autre ressort anime madame Buzyn : l'appât du gain. Celle qui, interrogée sur les dépassements d'honoraires des médecins, disait « j'ai cela en horreur », a pourtant un rapport pathologique à l'argent.

Au long de sa carrière, elle cumule les présidences et postes d'administrateur : Institut National du cancer, Haute Autorité de Santé, Etablissement des Greffes, Agence de Biomédecine, Etablissement français du sang...

A ses traitements de médecin hospitalier et de professeur de médecine s'ajoutent les indemnités et défraiements. Quoi de plus normal me direz-vous ? Sauf que cette dame ajoute des revenus plus discutables, compte-tenu de ses fonctions. De 1998 à 2011, elle organise un congrès annuel sur la greffe de moelle ; tâche rémunérée par le laboratoire Genzyme. De 2005 à 2011, elle touche de l'argent de multinationales du médicament (Novartis, Bristol-Myers-Squibb) pour intervenir dans des congrès, alors même qu'elle exerçait des fonctions au sein d'organismes publics. Des esprits certainement chagrins y ont vu un conflit d'intérêt. Madame Butin, comme l'ont surnommée de mauvaises langues, sait défendre bec et ongle le budget conjugal. Yves Lévy, son mari, dirige l'INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) à partir de 2014. Logiquement lors de l'accession de sa femme au poste de ministre, il aurait dû démissionner car elle était l'autorité de tutelle de l'organisme qu'il présidait. Que nenni ! Une tentative de masquage du conflit d'intérêt est alors bricolée, en instituant un déport ponctuel pour les décisions concernant l'INSERM, alors que la logique aurait été une démission ou un changement de tutelle.

En 2018, les allées du pouvoir ont bruissé du chantage à la démission d'Agnès Buzyn exigeant le renouvellement du mandat de son mari. Reconduit par intérim le 11 juin 2018, il doit retirer sa candidature le 30 juillet devant le tollé. C'est fort opportunément que Gilles Bloch est nommé. Bien entendu tout se paie et Yves Lévy obtient un lot de consolation en espèces sonnantes et trébuchantes : une nomination le 11 octobre 2018 comme conseiller d'Etat en service extraordinaire, rémunéré de 1 500 à 6 100 euros par mois, selon les avis rendus. Ces sommes sont à ajouter au traitement de médecin, chercheur et enseignant. A ce poste, il est invité à conseiller juridiquement le gouvernement, alors qu'il n'a pas fait d'études de droit. Chapeau l'artiste !

L'avidité de Madame Buzyn l'amène à être le fer de lance ou l'otage des lobbys, notamment pharmaceutiques. Alors qu'officiellement elle plaide pour l'assagissement des prix des médicaments, en coulisse elle œuvre pour l'augmentation du chiffre d'affaires des multinationales. Son copinage, elle l'assume, déclarant en février 2013, lors d'une réunion organisée par un cabinet de lobbying : « l'industrie pharmaceutique joue son rôle et je n'ai jamais crié avec les loups sur cette industrie. » Elle prône même la fin de l'indépendance des experts chargés de l'évaluation des médicaments : « il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l'industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts... les liens d’intérêts entre experts et laboratoires sont un gage de compétence. »

On comprend ainsi son activisme en imposant le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les enfants. Son amie Roselyne Bachelot avait, quant à elle, acheté par millions des doses de vaccins contre la grippe H1N1, restées sur les bras des autorités sanitaires. Dans le même temps elle dérembourse l'homéopathie pour des raisons financières mais s'apprête à financer la PMA pour toutes, avant la GPA. Engluée dans sa complaisance pour les firmes internationales, elle sacrifie les sociétés françaises, comme BOIRON, leader de l'homéopathie, et déteste les particularités nationales. En juin 2015 elle ose évoquer des « parlementaires qui obéissent à des lobbys très puissants et très bien installés en France, ceux des producteurs de vin. » Son soutien à « la fortune anonyme et vagabonde », selon l'expression d'Henry Coston, ne peut s'exercer que dans le cadre et avec le soutien de réseaux, notamment le premier d'entre eux, la maçonnerie. Cette dernière s'exprime de façon puissante à travers les organismes mutualistes. Commentoublier Michel Baroin, père de François, grand-maître du Grand Orient de France, patron de la GMF et mort mystérieusement dans un accident d'avion ? Le directeur de cabinet d'Agnès Buzyn se nomme Gilles de Mar- gerie, énarque, ancien des cabinets Fauroux à l'industrie et Rocard, comme chargé des affaires industrielles, mais surtout, au moment de sa nomination en 2017, directeur général-adjoint du groupe HUMANIS, le 3e groupe de protection sociale paritaire, devenu par son mariage avec MALAKOFF-MEDERIC le leader français. En phase avec MadameBuzyn, Thierry Beaudet, président de la mutualité Française, déclare dansLibération, le 8 juillet 2019 : « Nous sommes évidemment favorables à ce que la PMA soit accessible à toutes et remboursée par l'assurance-maladie et les mutuelles. »

Agnès Buzyn agit main dans la main avec les « frères mutualistes », faisant notamment la promotion des dispositifs de la réforme dite « 100 % santé » qui aboutit à sacrifier praticiens et auxiliaires médicaux libéraux sur l'autel collectiviste. Madame le ministre n'est pas seulement une alliée économique de la maçonnerie. Elle est aussi et surtout à la pointe de leurs combats sociétaux, digne héritière de sa belle-mère Simone Veil, à qui elle voue une admiration voire un véritable culte. Ses déclarations fragilisent, voire remettent en cause l'objection de conscience des médecins refusant de pratiquer des avortements. Tandis qu'en mars 2019, le docteur de Rochambeau, président du principal syndicat de gynécologues-obstétriciens, évoque une éventuelle grève des IVG, Agnès Buzyn hurle à la « prise d'otage des femmes » et au « caractère inadmissible de la mesure ». Curieusement, dès le 5 avril 2019, encouragé par la parole ministérielle, l'ordre des médecins engage des poursuites disciplinaires contre le docteur de Rochambeau et deux autres praticiens pour atteinte à la déontologie médicale.

Dans le même registre, la sinistre Buzyn trouve comme seul angle d'attaque contre François-Xavier Bellamy, tête de liste LR aux élections européennes, non pas son programme, mais ses positions sur les questions morales, qu'elle qualifie d'« archaïsmes datant d'un autre siècle. » S'agit-il d'une expression d'aigreur de ne pas avoir été désignée comme chef de file LREM pour les dites élections, malgré des soutiens de poids, comme François Bayrou ? Les fondements maçonniques de son action s'illustrent aussi dans ses prises de position sur la fin de vie. Le 3 octobre 2015, dans le cadre d'un colloque du Grand Orient (dit) de France, intitulé « la fin de vie des enfants » — tout un programme — elle déclare : « je suis en faveur de l'espace de liberté belge », c'est-à- dire de la dépénalisation de l'euthanasie. N'a-t- elle pas œuvré en ce sens en poussant l'Etat au pourvoi en cassation contre l'arrêt de la Cour d'appel de Paris qui, comme l'ONU, exigeait le maintien de l'hydratation et de la nutrition de Vincent Lambert ? Vraiment AgnèsBuzyn est une étoile noire de la galaxie macronienne.

Docteur Louis PÉRENNA
durdur bis shares this
794
durdur bis
ne nous laissez pas succomber
Dans le font ,c'est une Gilet Jaune , pas pour manque d'argent , mais manque d’ÂME AUX VÉRITABLE SERVICE DE SONT PROCHAIN.comme tout la clique des politiques d'aujourd'hui pire qu'avant 1980 et vous savez le pourquoi .
Traditions
Elle s'en est prise tout dernièrement au Professeur Joyeux au sujet d'un test intéressant qui s'est déroulé à Poitiers au sujet de la maladie de Parkinson. Le professeur l'a bien recadrée.
France Fidele
Personne inquiétant .
Qonun
Elle ressemble beaucoup à Simone en effet. Elle n'aime pas les enfants.