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Notre-Dame de Fatima convertira aussi les musulmans ! Ce sera dur mais le Coeur Immaculé de Marie convertira aussi les musulmans !Plus
Notre-Dame de Fatima convertira aussi les musulmans !

Ce sera dur mais le Coeur Immaculé de Marie convertira aussi les musulmans !
Simple curieux
Superbe !
Catholique et Français
Merci de votre gentillesse !
Ne nous laissez pas sucomber
@Catholique et Français Un imminence merci,nos bons et généreux Abbé très certainement pour protégés nos esprits ont simplifiez le rejet de Jean XXIII ,nous s'avions pour ce qui est du mal que ferait le communisme ,mais pas autant que ce que vous dites .Vatican II est terrible pour nous pourquoi refuser notre Dame Médiatrice ,ne la telle pas été aux noce de Cana (ils n'ont plus de vin )et (…Plus
@Catholique et Français Un imminence merci,nos bons et généreux Abbé très certainement pour protégés nos esprits ont simplifiez le rejet de Jean XXIII ,nous s'avions pour ce qui est du mal que ferait le communisme ,mais pas autant que ce que vous dites .Vatican II est terrible pour nous pourquoi refuser notre Dame Médiatrice ,ne la telle pas été aux noce de Cana (ils n'ont plus de vin )et (faite touts ce qu'il vous dira )n'es pas une Médiation entre notre Seigneur et les hommes et première action de Jésus Christ ,aurait il fait autrement pour nous donnez sa Mère comme Avocate celle qui lui apporte nos supplication;Je suis heureux de vous connaitre ,nous nous voyons pas mais je suis persuadé que nous allons sur le même chemin alors on peut pensé à un merveilleux avenir .
Catholique et Français
"Ne nous laissez pas sucomber" Jean XXIII et Fatima (in CRC) : "Le 17 juin 1944, lorsque Mgr da Silva prit possession de l’enveloppe contenant le manuscrit de la 3° partie du Secret, il aurait pu l’ouvrir aussitôt, lire le Secret et le divulguer. Il n’osa pas. Alors, «Lucie lui fit promettre, raconte le chanoine Galamba, qu’il serait ouvert définitivement et lu au monde à sa mort à elle, Lucie …Plus
"Ne nous laissez pas sucomber" Jean XXIII et Fatima (in CRC) : "Le 17 juin 1944, lorsque Mgr da Silva prit possession de l’enveloppe contenant le manuscrit de la 3° partie du Secret, il aurait pu l’ouvrir aussitôt, lire le Secret et le divulguer. Il n’osa pas. Alors, «Lucie lui fit promettre, raconte le chanoine Galamba, qu’il serait ouvert définitivement et lu au monde à sa mort à elle, Lucie, ou en 1960, selon ce qui se produirait d’abord».
En 1946, le chanoine Barthas demandait à sœur Lucie et à l’évêque de Leiria quand la 3° partie du Secret serait dévoilée. Ils «répondirent uniformément, sans hésitation et sans commentaire : “En 1960.” Et lorsque je poussai l’audace jusqu’à demander pourquoi il fallait attendre jusque-là, j’obtins pour toute réponse, de l’un comme de l’autre : Parce que la Sainte Vierge le veut ainsi.”»
Dix ans plus tard, en 1957, le Saint-Office réclama le précieux document et Mgr da Silva le lui envoya sans avoir consenti à ouvrir l’enveloppe ni à prendre copie de son contenu, comme le lui suggérait son évêque auxiliaire, Mgr Venancio.
Ce dernier remit l’enveloppe scellée au Nonce apostolique de Lisbonne, le 1° mars 1957, pressentant que les prélats romains avaient exigé le transfert du manuscrit au Vatican pour empêcher son dévoilement au monde en 1960.
Pie XII mourut le 9 octobre 1958 sans l’avoir lu. Trois semaines après, le 28 octobre, le cardinal Roncalli était élu Pape et prenait le nom de Jean XXIII. Il lut le Secret pendant l’été 1959, peu de temps avant le terme fixé par la Très Sainte Vierge pour sa divulgation.
Sœur Lucie avait dit au cardinal Ottaviani : «En 1960, le Secret apparaîtra plus
clair.» Il suffit de brosser un tableau des persécutions qui ont accompagné l’expansion du communisme dans les pays “décolonisés” pour comprendre la claire signification des prophéties qu’il contient.
La gravité et l’ampleur sans précédent des attaques contre l’Église se trouvent résumées par deux chiffres illustrant la carte de “l’Église du silence” en 1961 : «Pendant les premiers siècles de notre ère, trois cent mille chrétiens furent martyrisés. Aujourd’hui, de Berlin à Shanghaï, de la Sibérie au Tonkin, 90 millions de catholiques sont persécutés pour notre foi !»
Personne ne pouvait nier un tel constat. Le cardinal Frings déclarait : «On ne doit jamais oublier que le dernier demi-siècle a donné à lui seul plus de martyrs que les trois siècles de persécution romaine.» (...)
En cette conjoncture, quel courage surnaturel les persécutés n’auraient-ils pas reçu par la divulgation du 3° Secret ! La vision de la «grande croix de troncs bruts» dressée au sommet de la montagne escarpée venait providentiellement rappeler, à l’encontre du progressisme, que la Croix domine et régit l’histoire du monde, comme aussi le drame de chaque vie humaine. (...)
JEAN XXIII OCCULTE LE TROISIÈME SECRET
L’enveloppe cachetée contenant le troisième Secret fut remise au pape Jean XXIII à Castelgandolfo, le 17 août 1959. Le Pape l’ouvrit quelques jours plus tard.
Citons le témoignage de Mgr Capovilla, son secrétaire privé :
«Jean XXIII me dit : “Écrivez !” Et j’écrivis sous sa dictée : “Le Saint-Père a reçu ce document des mains de Mgr Philippe. Il a décidé de le lire vendredi, en présence de son confesseur. Ayant constaté l’existence de locutions peu claires, il a appelé Mgr Tavares, qui traduisit. Il l’a fait lire à ses collaborateurs les plus proches. Finalement, il a décidé de refermer l’enveloppe en disant :“Je ne porte pas de jugement.Silence face à ce qui peut être une manifestation du divin ou peut ne pas l’être.”»
Le 8 février 1960, le simple communiqué d’une agence de presse portugaise, l’Agencia nacional de informaçao, annonçait que le 3° Secret ne serait pas divulgué.
«La décision des autorités vaticanes, précise-t-il, se fonde sur les raisons suivantes :
« 1. La sœur Lucie est encore vivante.
« 2. Le Vatican connaît déjà le contenu de la lettre.
« 3. Bien que l’Église reconnaisse les apparitions de Fatima, elle ne désire pas prendre la responsabilité de garantir la véracité des paroles que les trois pastoureaux dirent que la Vierge Marie leur avait adressées.
«Dans ces circonstances, il est très probable que le “Secret de Fatima” sera maintenu, pour toujours, sous le plus absolu secret.»
Non seulement Jean XXIII ne parla jamais publiquement du 3° Secret, mais il se montrait contrarié lorsqu’on l’évoquait devant lui, ou si on le questionnait sur ce sujet. Un jour, il répondit au futur cardinal Oddi : «Ne me parlez pas de cela !» Le prélat insista néanmoins : «Si vous voulez, je ne vous en parle plus, mais je ne peux pas empêcher les gens d’en parler. J’ai dû moi-même faire une centaine de prêches pour annoncer sa révélation.» Le Pape répliqua : «Je vous ai dit de ne pas m’en parler !»
John Haffert, le fondateur de l’Armée bleue, constata les effets néfastes de la décision et des procédés de Jean XXIII : «L’année 1960 se passa sans que le Pape ait dévoilé le Secret qui lui avait été confié. Il ne fit même pas savoir s’il l’avait ouvert. Le silence de Rome pesa lourdement sur nous; les gens commencèrent à murmurer que Fatima était une histoire montée, qu’il n’y avait pas de Secret, que “le Secret de 1960” était une mystification... En 1964, l’effet du long silence concernant le Secret semblait toujours nous envelopper comme un drap mortuaire.»
L’UTOPIE DE LA COEXISTENCE PACIFIQUE
Comment expliquer cette attitude de Jean XXIII ? Selon le Père Alonso, il aurait même déclaré, après avoir lu le 3° Secret : «Cela ne concerne pas les années de mon pontificat
L’explication, aujourd’hui bien connue, tient dans le fait que Jean XXIII minimisait l’ampleur et la violence des attaques subies par l’Église catholique. Il demeurait donc fermé à la compréhension du Secret et entendait poursuivre une utopique politique de conciliation avec les dirigeants soviétiques. (...)
Par ses déclarations, il accréditait la prétendue politique internationale de “coexistence pacifique” et de détente, menée par les bolcheviques pour endormir et duper les Occidentaux. Cette Ostpolitik culmina, en avril 1963, avec la publication de son encyclique sur la paix dans le monde, Pacem in terris, dont il adressa un exemplaire traduit en russe à Khrouchtchev.
Le quotidien soviétique, les Izvestia, s’empressa d’en tirer parti en observant qu’en "intervenant dans la sphère politique, le Pape faisait preuve d’une certaine tolérance envers les communistes athées".
On comprend leur satisfaction puisque, dans Pacem in terris, le Souverain Pontife ne considérait pas la Chrétienté, il n’examinait pas les périls qui la menaçaient. (...) En revanche, il reconnaissait officiellement la “Charte des Droits de l’Homme” des Nations unies, et il prônait une communauté mondiale libre, égale et fraternelle, fondée sur la bonne volonté de tous les hommes. Tant et si bien que cette longue encyclique sur “la paix entre les hommes et entre toutes les nations” ne contenait pas même une allusion à l’Immaculée Vierge Marie, laquelle est pourtant, selon les révélations de Fatima, la seule dispensatrice du don divin de la Paix.
VATICAN II ET FATIMA : DEUX ESPRITS CONTRADICTOIRES
Croyant donner corps à son utopie en invitant des “observateurs” russes au concile Vatican II, Jean XXIII conclut un accord en bonne et dûe forme avec Moscou, aux termes duquel leur présence au Concile aurait pour contrepartie le silence des Pères sur le communisme. (...)
«De fait, et même par une fraude patente, cent fois dénoncée, non pas sanctionnée mais couverte et assumée par l’autorité suprême, il n’y eut au Concile, malgré la pétition de nombreux Pères, aucune condamnation du communisme athée, aucune fulmination d’anathème contre ses séides et ses complices chrétiens, aucune dénonciation de son impérialisme, esclavagiste et persécuteur. Le plus grand Concile de tous les temps (soi- disant) demeura sourd et aveugle au plus grand phénomène d’inhumanité de tous les temps : l’expansion mondiale du bolchevisme. Ainsi lui prêta-t-il sourdement une aide décisive.»
Le 11 octobre 1962, dès son discours d’ouverture du concile Vatican II, Jean XXIII appliquait les clauses du pacte conclu avec le diable en prenant le contre-pied de la vision prophétique du 3° Secret, bravant ainsi l’autorité de l’Immaculée Mère de Dieu.
«Il nous semble nécessaire de dire notre complet désaccord avec ces prophètes de malheur qui annoncent toujours des catastrophes, comme si le monde était près de sa fin.» (...)
Dès lors, toutes les grandes orientations de Vatican II seront en contradiction avec le message de Notre-Dame de Fatima. À chacun des éléments de la demande de la Vierge concernant l’Acte de Réparation et de Consécration de la Russie, s’oppose radicalement l’une ou l’autre des nouveautés doctrinales de Vatican II. Le Concile ne pouvait pas en même temps louer “les valeurs spirituelles présentes en toute religion et même dans l’athéisme”, et poser un acte solennel et public de réparation pour les impiétés commises en Russie par les bolcheviques !
MARIE MÉDIATRICE MÉPRISÉE
De plus, l’œcuménisme congarien, imposé à Vatican II par la minorité progressiste, conduisit le Concile à bafouer les prérogatives de l’Immaculée Médiatrice, et à mépriser l’essentiel du Message de Fatima selon lequel «Dieu veut établir dans le monde la dévotion au Cœur Immaculé de Marie».
Lors de la préparation du Concile, trois cents évêques avaient demandé expressément la définition dogmatique de la Médiation Universelle de la très Sainte Vierge. Ce fut en vain. Devant la commission centrale préparatoire, le cardinal Montini, futur pape Paul VI, osa affirmer, le 20 juin 1962 : «La proposition d’un nouveau titre, surtout celui de Médiatrice, à accorder à Marie très Sainte, me paraîtrait inopportune et même damnable (damnosa)» !
Le Concile n’allait donc traiter de la très Sainte Vierge que dans le dernier chapitre de la constitution sur l’Église. Le Père Congar, satisfait, notait dans son journal intime : «La mariologie, du moins celle qui veut toujours ajouter, est un vrai cancer
À Marie Médiatrice, on préféra un nouveau titre marial : Marie, Mère de l’Église. L’abbé Laurentin remarque que «Jean XXIII a employé plusieurs fois le titre de “Mère de l’Église”, à la suite de Léon XIII, mais n’a jamais employé ceux de co-rédemptrice et de médiatrice». (...)
Il y eut toutefois plusieurs évêques pour s’alarmer de ce mépris du Culte de la Sainte Vierge. Le cardinal Cerejeira, patriarche de Lisbonne, au nom de cent treize évêques, réclama que soit recommandée explicitement la dévotion au Saint Rosaire. La commission qui préparait le chapitre sur la Vierge Marie, rejeta la demande. Le Rosaire et le Chapelet ne seront donc pas mentionnés dans les Actes de Vatican II ! (...)
«Sœur Lucie, écrit le Père Alonso, a sans doute beaucoup souffert intimement de la réforme liturgique. On n’y a pas respecté une tradition vénérable qui s’était constituée peu à peu au cours des siècles autour de la signification liturgique spécifique de la fête du Cœur de Marie. Et on n’a ni respecté ni suivi une Révélation du Ciel qui se manifestait avec toutes les garanties de l’Église, à savoir que la Dévotion à ce Cœur Immaculé est une nécessité pour l’Église de notre temps. Ce Cœur se présente avec toute sa valeur d’Espérance eschatologique et, du moins dans la nouvelle réforme de la liturgie, cette Espérance a été occultée.»
Extraits de Fatima, Salut du monde, p. 283-308.
Catholique et Français
Le Secret de Fatima ne parle absolument pas, contrairement à ce qui a été dit ou insinué, du coup de feu sur Jean-Paul II le 13 mai 1981; en revanche, ce monstrueux attentat est un nouvel avertissement aux Papes de tenir compte des Demandes de Notre-Dame; mais ils "n'en font pas cas"... Jean XXIII n'a jamais dit, en lisant le Secret de Fatima, "C'est un enfantillage" mais, au contraire : "Cela ne …Plus
Le Secret de Fatima ne parle absolument pas, contrairement à ce qui a été dit ou insinué, du coup de feu sur Jean-Paul II le 13 mai 1981; en revanche, ce monstrueux attentat est un nouvel avertissement aux Papes de tenir compte des Demandes de Notre-Dame; mais ils "n'en font pas cas"... Jean XXIII n'a jamais dit, en lisant le Secret de Fatima, "C'est un enfantillage" mais, au contraire : "Cela ne concerne pas mon Pontificat" ! La conversion des musulmans n'est évidemment pas la priorité pour Notre-Dame de Fatima, voici comme je vois les choses, me semble-t-il, dans l'ordre des priorités voulues par Notre-Dame : Victoire du Coeur Immaculé de la Vierge sur le coeur du Saint-Père (il faut se sacrifier, prier et crier pour cela !) > Conversion de la Russie et Paix miraculeuses; le reste suivra > Anéantissement des hérésies et folies modernes, surtout dans l'Eglise (Règne du Coeur Immaculé de Marie) > Période (sans doute longue) de conversion du monde, dont évidemment au premier chef, le monde musulman. J'espère avoir répondu à votre question.
Ne nous laissez pas sucomber
Je m'excuse mais je n'ais pas entendu cette annonce dite par notre Dame de Fatima et pour tant se n'est pas faute d'avoir étudiez avec nos Abbés tout ce qui était dit des secrets ,mais c'est vrais le secret 3 qui devait être dit en 1960 (enfantillage dit Jean XXIII?)puis on nous dit ce qui tombe à pique ,c’était le coup de feux sur Jean-Paul II ?enfantillage bien sur ? aujourd'hui alors qu'ils …Plus
Je m'excuse mais je n'ais pas entendu cette annonce dite par notre Dame de Fatima et pour tant se n'est pas faute d'avoir étudiez avec nos Abbés tout ce qui était dit des secrets ,mais c'est vrais le secret 3 qui devait être dit en 1960 (enfantillage dit Jean XXIII?)puis on nous dit ce qui tombe à pique ,c’était le coup de feux sur Jean-Paul II ?enfantillage bien sur ? aujourd'hui alors qu'ils ont réuni toutes les croyances ,c'est la conversion des musulmans?Vous ne pensé pas que notre Dame son souci est plutôt ce qu'est devenu l'Eglise de sont Fils ,n'a t 'elle pas assez pleurée a la SALETTE pour vous faire réfléchir ,Il serais temps de revenir à l'Eglise Catholique Apostolique et Romaine d'avant Vatican II et demander pardon en une grande confession Papale .
Catholique et Français
En attendant l'islam, c'est Notre-Dame de Fatima qui, suppliée par le peuple catholique, a sauvé Vienne (très émouvant rappel, au Pied d'une Statue de N-D de Fatima dans une des nombreuses et merveilleuses églises de la ville) et l'Autriche in extremis de la barbarie communiste triomphante en 1944-45 !
prince0357
Ma grand mère a fait un pèlerinage à Lourdes et à Fatima à la moitié des années 60. Revenue elle m'a parlé de Fatima comme le clé de la conversion des musulmans. En ce temps personne n'a su rien de cette religion en Autriche bien qu'elle fût déjà reconnue en 1912 par la monarchie austro-hongroise
Catholique et Français
«Un missionnaire de New-Delhi nous a assuré que le passage de la Vierge aux Indes avait obtenu un succès comme miraculeux. Auparavant un musulman ne pouvait fréquenter les chrétiens sans risquer la plus terrible des vendettas de ses coreligionnaires. Maintenant, on en voit qui viennent s’instruire dans les missions sans que personne n’y mette obstacle.» (ibid., p. 65) Vive Notre-Dame de la Paix …Plus
«Un missionnaire de New-Delhi nous a assuré que le passage de la Vierge aux Indes avait obtenu un succès comme miraculeux. Auparavant un musulman ne pouvait fréquenter les chrétiens sans risquer la plus terrible des vendettas de ses coreligionnaires. Maintenant, on en voit qui viennent s’instruire dans les missions sans que personne n’y mette obstacle.» (ibid., p. 65) Vive Notre-Dame de la Paix ! Qu'Elle vienne vite triompher de nos horribles "désorientations diaboliques" ! Que vienne vite le Règne de son Coeur Immaculé ! 🙏 🙏 🙏
Catholique et Français
"Dans la péninsule indienne, après le départ des autorités et des forces anglaises, une féroce guerre civile opposait les populations musulmanes et hindoues dans les régions à populations mêlées, le long des frontières encore vagues entre les deux nouveaux États de l’Hindoustan et du Pakistan. «“ Dans les villages, on se tuait comme des chiens ”, rapporte un missionnaire. Dès que la Vierge …Plus
"Dans la péninsule indienne, après le départ des autorités et des forces anglaises, une féroce guerre civile opposait les populations musulmanes et hindoues dans les régions à populations mêlées, le long des frontières encore vagues entre les deux nouveaux États de l’Hindoustan et du Pakistan. «“ Dans les villages, on se tuait comme des chiens ”, rapporte un missionnaire. Dès que la Vierge de Fatima eut touché terre à Goa (enclave portugaise aux Indes), les massacres diminuèrent puis cessèrent.

«Cependant, la guerre militaire se poursuivait entre les deux pays. Mais pendant que la Vierge parcourait l’Hindoustan au milieu de manifestations d’une ampleur et d’une ferveur inouïes, un traité de Paix était préparé. Il fut signé juste à temps pour laisser passer à travers la nouvelle frontière le train qui portait Notre-Dame vers le territoire pakistanais.»

Et « jusqu’en août 1950, au Pakistan, la Vierge Pèlerine fut reçue avec non moins de ferveur, même par les autorités musulmanes ! » (ibid., p. 81)
3 autres commentaires de Catholique et Français
Catholique et Français
Cela se passait ainsi, du temps de Sa Sainteté Pie XII, quand, au lieu de souffler sur les braises de l'islam pour attiser l'incendie, la hiérarchie de l'Eglise Catholique faisait son "job" : «Dans les fêtes magnifiques qui marquèrent le passage de la Route Mondiale à travers l’Afrique du Sud, la Rhodésie, le Kenya, le Tanganyika, l’Ouganda, etc..., les musulmans furent plus nombreux et parfois …Plus
Cela se passait ainsi, du temps de Sa Sainteté Pie XII, quand, au lieu de souffler sur les braises de l'islam pour attiser l'incendie, la hiérarchie de l'Eglise Catholique faisait son "job" : «Dans les fêtes magnifiques qui marquèrent le passage de la Route Mondiale à travers l’Afrique du Sud, la Rhodésie, le Kenya, le Tanganyika, l’Ouganda, etc..., les musulmans furent plus nombreux et parfois plus fervents dans leurs acclamations que les catholiques.

« La Vierge de Fatima a opéré sur la terre africaine une grande œuvre de Paix, obtenant par sa présence la fraternisation d’éléments ethniques et même religieux opposés, noirs comme blancs, païens, musulmans et chrétiens. » (Chanoine Barthas, Les colombes de la Vierge, p. 69) 👍
Catholique et Français
Pour vous et vos frères et soeurs qui sont encore musulmans, "Sainte Blandine", cet extrait : «Dès les premiers pas de la Route Mondiale en Afrique, en 1948, Elle exerça une sorte de fascination sur les musulmans. Du Maroc espagnol au Caire, la Blanche Statue fut l’objet de toutes sortes d’hommages de leur part. Les chorales musulmanes demandaient la faveur de suivre les processions ; des imans …Plus
Pour vous et vos frères et soeurs qui sont encore musulmans, "Sainte Blandine", cet extrait : «Dès les premiers pas de la Route Mondiale en Afrique, en 1948, Elle exerça une sorte de fascination sur les musulmans. Du Maroc espagnol au Caire, la Blanche Statue fut l’objet de toutes sortes d’hommages de leur part. Les chorales musulmanes demandaient la faveur de suivre les processions ; des imans enseignèrent des cantiques aux chrétiens des villages sans missionnaires ; dans telle ville, presque entièrement musulmane, toute la population assistait aux cérémonies ; devant les mosquées pavoisées et illuminées, des arcs de triomphe étaient dressés.» (Chanoine Barthas, Fatima et les destins du monde, Fatima-éditions, p. 61-64)
Catholique et Français
Original du texte : "La lune est sous ses Pieds !" 🙏 🙏 🙏