jacques andré camredon

j.camredon@gmail.com

Au sein de l'Église, "l'axiome de la miséricorde est rarement appliqué".

La visite très publique de François à Emma Bonino, meurtrière impénitente d'enfants, le 5 novembre, avait la "saveur d'un spectacle", écrit Luis Badilla dans une analyse du 9 novembre.
Si Bergoglio avait voulu faire un "geste pastoral" envers la malade Bonino "sans confondre et désorienter le monde catholique", il aurait suffi de le faire en privé.
Au lieu de cela, "il est certain que le spectacle et la scène ont été voulus pour des raisons de popularité", explique Badilla, car Bergoglio utilise la presse du régime comme "un instrument du gouvernement".
La visite a suivi "le schéma familier des autres visites, avec un entourage d'opérateurs de télévision, de journalistes et de photographes, régulièrement prévenus de l'arrivée "surprise"".
Il rejette l'affirmation de François selon laquelle "il faut regarder les gens et non ce qu'ils font", citant des voix au Vatican :
"Pas mal, mais à l'intérieur de l'Église, dans la hiérarchie et les diocèses, au Saint-Siège, cet axiome de …Plus

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Grosminet

Il appert que la volonté de monsieur Bergoglio de s'afficher ostensiblement avec la grande prêtresse du meurtre de bébés, procède d'une volonté par lui pleinement assumée. De là la question : est-il sincère lorsqu'il traite de mercenaires les promoteurs de l'avortement ?

philippeLILOU

Qui se ressemble s'assemble...

Imaginez si c'était un évêque : le Dalaï Lama embrasse un garçon sur les lèvres et lui demander de "sucer sa langue"

Tenzin Gyatso, 87 ans, connu sous le nom de Dalaï Lama, a présenté ses excuses le 10 avril après la diffusion d'une vidéo (ci-dessous) le montrant en train d'embrasser un garçon sur les lèvres et de lui demander de "sucer [sa] langue".
La scène s'est déroulée le 28 février à Dharamshala, dans le nord de l'Inde, lors d'un événement organisé par la fondation M3M, la branche philanthropique d'une société immobilière indienne.
Le Dalaï Lama s'est excusé pour la blessure que "ses mots" ont pu causer, ajoutant qu'il regrettait "l'incident". Le communiqué explique qu'il "taquine souvent les personnes qu'il rencontre de manière innocente et ludique, même en public et devant les caméras".
L'association de défense des droits de l'enfant "Haq : Centre for Child Rights", basée à Delhi, a déclaré que cette vidéo ne concernait "aucune expression culturelle et que, même si c'était le cas, de telles expressions culturelles n'étaient pas acceptables".
#newsHkarzdnjow

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