Maurice Thorez, l'ignoble chef du parti communiste français, a déserté de son poste militaire au front en 1940 pour s'enfuir en URSS chez son ami Staline, alors allié et complice d'Hitler pour dépecer la Pologne et les pays baltes et laisser les nazis écraser tranquillement la France. Il est resté caché en Russie pendant toute la guerre et est revenu en 1944, avec les francs-maçons et De Gaulle, la tête et le verbe hauts, pour "libérer" démocratiquement la France des "collabos" et du maréchal ! A vomir de honte et de dégoût ! C'est ce même immonde parti communiste, requinqué par De Gaulle, qui aurait normalement dû s'emparer du pouvoir fin 1947... si Notre-Dame n'avait pas été là ! Je suis bien désolé mais, pour cette raison comme pour beaucoup d'autres, je ne peux pas admirer De Gaulle !
Voir Wikipédia (Maurice Thorez)
: "...En automne 1944, peu de temps après le retour de Thorez en France, de Gaulle avait rencontré
Staline à Moscou, et ce dernier, avait déclaré à propos de Thorez : « Ne vous fâchez pas de mon indiscrétion… je me permets de vous dire que je connais Thorez, et qu'à mon avis, il est un bon Français ; si j'étais à votre place, je ne le mettrais pas en prison… du moins pas tout de suite… »
Charles de Gaulle avait alors répondu : «
Le gouvernement français traite les Français d'après les services qu'il attend d'eux. »
En automne 1945, le temps était donc venu pour Thorez, de prendre des responsabilités dans un gouvernement. Sa nationalité française, qui lui a été retirée en février 1940, est
restaurée en octobre 1945 par décret. Après les élections pour l'assemblée constituante d'octobre 1945, qui donnent 26,1 % des suffrages aux communistes,
c'est comme ministre de la fonction publique, en compagnie de quatre autres ministres communistes qu'il fait son entrée au gouvernement de de Gaulle. Il a rang de ministre d'État. Dans le
gouvernement Félix Gouin, en janvier 1946, il est « vice-président du conseil ». En novembre 1946, après des résultats électoraux meilleurs qu'ils n'avaient jamais été, 28,6 %, et qui font du PCF « le premier parti de France », Thorez revendique la présidence du conseil. Il affirme alors, dans une interview pour le
Times du 18 novembre qu'il existe pour aller vers le socialisme « d'autres chemins que celui suivi par les communistes russes ». Finalement, seulement 261 sur 579 votants se portent sur son nom. Toujours vice-président du conseil, Thorez ne quitte le gouvernement Ramadier, qu'en mai 1947, avec les 4 autres ministres communistes. Son exclusion du gouvernement est pour lui un déchirement
fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Thorez.
Pendant son passage au gouvernement, Thorez qui avait toujours su se montrer bon élève aux yeux de
Manouïlski et de
Staline, sait également se montrer bon ministre. Ceux qui l'ont côtoyé, de
Charles de Gaulle à
Jules Moch décrivent un ministre efficace, non dénué du sens de l'État
fr.wikipedia.org/wiki/Aide:Référence_…. Il mène à bien la réforme de la fonction publique et le statut de la fonction publique lui survit jusqu'au xxie siècle. Très proche de
Marcel Paul depuis l'avant-guerre, il soutient activement sa lutte victorieuse pour la nationalisation de l'électricité et du gaz (loi du 8 avril 1946), puis des houillères..."