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Mamma Mia : Les évêques italiens prient Pachamama

La section italienne de Missio, l'organisation pontificale de soutien aux missions à l'étranger, a publié dès avril 2019, dans un magazine consacré au prochain Synode amazonien, une "prière" à Pachamama sur la page 17.

L'organisation est contrôlée par les évêques italiens. Le texte a été présenté comme "Prière des peuples Incas à la Terre Mère" :

Pachamama de ces lieux
bois et mange cette offrande à volonté,
afin que cette terre soit féconde.
Pachamama, bonne mère,
Sois favorable ! Sois favorable !
Que les bœufs marchent bien,
et qu'ils ne se fatiguent pas,
Laissez bien pousser la graine,
que rien de mal ne lui arrive.
que le gel ne la détruise pas,
qu'elle produise de la bonne nourriture.
Nous te demandons : donne-nous tout.
Sois favorable ! Sois favorable !

#newsHcwyjirmqd

Aldegonde partage ceci
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Frederiquebocage@gmail.com
GChevalier
Plus de détails ici : La PRIÈRE à PACHAMAMA de la FONDATION des MISSIONS des ÉVÊQUES ITALIENS. Comme on le voit, les Rogations ayant disparu, ils les ont remplacées par une incantation magique à leur « bonne mère » qui n'est autre qu'Astarté, la Pachamama de Babylone.
gerard57
🤮 🤮 🤮
gerard57
Ils vont faire leur repentance aux Incas maintenant !
Aldegonde
Les évêques italiens sont les premiers évêques de la nouvelle église mondiale qui permettra l'installation du gouvernement mondial satanique
apvs
apvs
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Les cérémonies indigènes à la Pachamama comportent différents rites, dont le plus important a lieu au début du mois d'août, lorsque la « Terre Mère » est censée être fatiguée et usée. Le rite consiste à chanter, danser et boire autour d'une couverture sur laquelle sont déposées des offrandes, certaines brûlées ou fumées rituellement, pour « nourrir » la Terre qui nourrit, mais qui …Plus
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Les cérémonies indigènes à la Pachamama comportent différents rites, dont le plus important a lieu au début du mois d'août, lorsque la « Terre Mère » est censée être fatiguée et usée. Le rite consiste à chanter, danser et boire autour d'une couverture sur laquelle sont déposées des offrandes, certaines brûlées ou fumées rituellement, pour « nourrir » la Terre qui nourrit, mais qui détruit et tue aussi par tremblements de terre et autres catastrophes quand les hommes utilisent par trop ses ressources, comme l'expliquent les légendes païennes – et le discours sur le réchauffement climatique d'origine anthropique et celui sur l'épuisement de la planète. Le rituel est dirigé par un chaman local.

Souvent, un trou est creusé dans le sol, symbolisant l'utérus de la Pachamama, et les offrandes, éventuellement brûlées – y compris les très recherchés fœtus de lama censés apporter chance et richesse – sont rituellement versées dans ce trou.

Des chamans, hommes et femmes, participent à la conduite de ces cérémonies.

Historiquement, avant l'arrivée des conquérants espagnols, le culte inca à Pachamama s'accompagnait de sacrifices humains, souvent des enfants de 7 ou 8 ans dont la mort était censée apaiser la « divinité » terrestre, pour éviter sa colère et obtenir la prospérité. C'est ainsi que 200 jeunes ont été sacrifiés à l'occasion du couronnement de Pachacutec à Cuzco, quelque part entre 1430 et 1440. Le sacrifice consistait souvent à congeler les enfants qui mouraient de froid après avoir été drogués à la coca, la plante sacrée de nombreuses tribus indigènes d'Amérique du Sud. Des momies d'enfants sacrifiés ont été retrouvées, qui confirment la réalité de la pratique du sacrifice humain à Pachamama en particulier.

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apvs
Il est intéressant de noter que la version originale quechua de la prière et sa traduction espagnole contemporaine sont légèrement différentes.
Les deux premières lignes se lisent comme suit dans la prière quechua :
Pachamama de ces lieux,
Bois, mâche de la coca et mange autant que tu voudras de ces offrandes.

Apparemment, la Fondazione Missio s'est méfiée des mots évoquant la mastication de …Plus
Il est intéressant de noter que la version originale quechua de la prière et sa traduction espagnole contemporaine sont légèrement différentes.

Les deux premières lignes se lisent comme suit dans la prière quechua :

Pachamama de ces lieux,
Bois, mâche de la coca et mange autant que tu voudras de ces offrandes.


Apparemment, la Fondazione Missio s'est méfiée des mots évoquant la mastication de
la coca, la coca étant illégale dans presque tous les pays de monde, sauf en Bolivie et quelques autres où son utilisation traditionnelle est autorisée. Considérée par l'ONU comme une substance addictive, la feuille de coca est tenue pour sacrée par les tribus indigènes des Andes et sa mastication est créditée de nombreuses vertus : elle est riche en vitamines, elle réduit l'appétit et agit comme un stimulant.

D'autre part, bien que la production de cocaïne à partir de la feuille de coca nécessite un certain nombre de processus chimiques complexes, elle agit comme une drogue même lorsqu'elle est simplement mâchée, provoquant des hallucinations et d'autres effets qui sont ceux d'un stupéfiant naturel. En tant que tel, le coca était largement utilisé dans les rites indigènes traditionnels. Il joue un rôle important dans le rituel de la Pachamama, en particulier en raison de ses caractéristiques « stimulantes », et il est aussi utilisé pour prévoir l'avenir. Cela fait désordre, alors on censure !

La version expurgée de la prière à la Pachamama a été utilisée lors d'une veillée missionnaire à Vérone, selon une photo d'une partie du dépliant de la cérémonie publiée par un commentateur sous le message Facebook de Michael Hichborn.
ne nous laissez pas succomber
Jusqu’où vas la folie écologique il manque STE GRETA ?