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Un cardinal : "Bien sûr, j'ai peur de la mort"

"Bien sûr, j'ai peur de la mort et du jugement de Dieu", a déclaré à LiberoQuotidiano.it (10 novembre) le cardinal-vicaire de Jean-Paul II, Camillo Ruini, 89 ans. Cependant, sa confiance dans le …Plus
"Bien sûr, j'ai peur de la mort et du jugement de Dieu", a déclaré à LiberoQuotidiano.it (10 novembre) le cardinal-vicaire de Jean-Paul II, Camillo Ruini, 89 ans. Cependant, sa confiance dans le Seigneur est pour lui plus forte que la peur.
Ce que le grand poète italien Dante Alighieri, +1321, a écrit sur l'enfer, le purgatoire et le paradis dans sa Divine Comédie, doit être laissé de côté, explique Ruini, car il partageait la vision du monde [catholique] de son époque "qui n'est [prétendument] plus la nôtre"
Ruini est l'aumônier de "Figli in Cielo" (Enfants du ciel), un groupe réunissant des parents qui ont perdu un enfant.
Il y a quelques années, le président de l'association a dû annoncer à une mère que son fils était mort dans un accident de moto. Après quelques instants de silence, cette mère a répondu : "Notre Dame a souffert davantage".
Image: Camillo Ruini © Grzegorz Artur Górski, CC BY-SA, #newsDwziwwppcu
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La réaction de cette mère n'a rien de saint ni de sain. C'est monstrueux. Elle n'aimait pas son fils. Jésus a pleuré le décès de son ami Lazare.
Catholique et Français
Fatima 13 juillet 1917. Récit de soeur Lucie : «En disant ces dernières paroles, Elle (Notre-Dame) ouvrit de nouveau les Mains, comme les deux derniers mois. Le reflet (de la Lumière) parut pénétrer la terre et nous vîmes comme un océan de feu. Plongés dans ce feu nous voyions les démons et les âmes (des damnés). Celles-ci étaient comme des braises transparentes, noires ou bronzées, ayant …Plus
Fatima 13 juillet 1917. Récit de soeur Lucie : «En disant ces dernières paroles, Elle (Notre-Dame) ouvrit de nouveau les Mains, comme les deux derniers mois. Le reflet (de la Lumière) parut pénétrer la terre et nous vîmes comme un océan de feu. Plongés dans ce feu nous voyions les démons et les âmes (des damnés). Celles-ci étaient comme des braises transparentes, noires ou bronzées, ayant formes humaines. Elles flottaient dans cet incendie, soulevées par les flammes qui sortaient d'elles-mêmes, avec des nuages de fumée. Elles retombaient de tous côtés, comme les étincelles dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, au milieu des cris et des gémissements de douleur et de désespoir qui horrifiaient et faisaient trembler de frayeur. (C'est à la vue de ce spectacle que j'ai dû pousser ce cri : “ Aïe ! ” que l'on dit avoir entendu de moi.) Les démons se distinguaient (des âmes des damnés) par des formes horribles et répugnantes d'animaux effrayants et inconnus, mais transparents comme de noirs charbons embrasés. Cette vision ne dura qu'un moment, grâce à notre Bonne Mère du Ciel qui, à la première Apparition, nous avait promis de nous emmener au Ciel. Sans quoi, je crois que nous serions morts d'épouvante et de peur. Effrayés, et comme pour demander secours, nous levâmes les yeux vers Notre-Dame qui nous dit avec bonté et tristesse : "Vous avez vu l'enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la Dévotion à mon Cœur Immaculé. Si l'on fait ce que Je vais vous dire, beaucoup d'âmes se sauveront et l'on aura la Paix etc..."
alix
Je suis bien d'accord, cette femme n'a rien d'humain!
Notre Seigneur ne nous demande que d'offrir nos souffrances dans la mesure de nos moyens.