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Léon XIV témoigne sa confiance au card. Cupich par un poste législatif à Rome

Le card. Cupich, évêque de Chicago, est en limite d'age depuis 1 an à 71 ans et n'a toujours pas démissionné de son diocèse.
"Le pape Léon XIV, qui continue de construire sa nouvelle administration, a nommé le cardinal Blase Cupich de Chicago et le cardinal Baldassare Reina, vicaire général de Rome, comme deux nouveaux membres de la Commission pontificale pour l'État de la Cité du Vatican, a annoncé aujourd'hui le Vatican.
La commission est l'organe législatif de la cité-État et a été créée en 1939. Elle est habilitée à approuver les lois et les dispositions normatives, notamment les plans financiers annuels et triennaux, du plus petit État du monde"

Source : Pope Leo appoints Cardinal Cupich to commission …
Et voici ce que pense Mgr Vigano des derniers scandales du cardinal Cupich :
Mgr Vigano : Prevost délégitime la condamnation …

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Grosminet

Une fleur visant à soutenir ou à consoler Cupich dont la volonté de décorer un sénateur avorteur s'est vue contrecarrée par des confrères dans l'épiscopat ?
Rappelons l'enseignement doctrinal la petite opinion personnelle de Léon XIV : ledit sénateur a défendu les immigrés (le plus souvent clandestins), et donc, qu'il fût pro-avortement serait un détail de moindre importance ; et de préciser qu'on ne peut se dire catholique si défend l'enfant à naître sans s'opposer simultanément à la peine capitale pour les pires criminels (!). Un enseignement catholique ? Non, pas du tout, une simple affirmation correspondant, non pas à la doctrine catholique, mais à un sentiment tout personnel d'un homme qui semble oublier qu'il est pape. Au fait, Monsieur Bergoglio soutenait le président Biden ainsi que la démocrate Nancy Pelosi, tous deux des partisans acharnés de l'avortement et jamais interdits de communion, bafouant l'interdit de l'excellent Mgr Cordileone concernant Pelosi.
Le Concile a ouvert la porte au funeste relativisme dans l'enseignement qui, de clair et limpide qu'il était, est devenu « fluide », ou « liquide ». Avec Monsieur Bergoglio, nous avons sombré carrément dans le chaos de l'ambiguïté. Le relativisme, corollaire du modernisme, correspond à une volonté de noyer la Vérité. Il se nourrit de « en même temps », de « oui mais... », de « par contre, dans un but pastoral... », de notes en bas de page, de cas par cas, d'un prétendu respect de l'évolution des mentalités, voire d'un désir de plaire, non plus à Dieu, mais au monde.