L’archevêque Georg Gänswein, nonce apostolique en Lituanie, en Estonie et en Lettonie, a déclaré lors d’une interview diffusée le week-end dernier que le pape Léon XIV devrait mettre fin aux restrictions sur la messe traditionnelle en latin et revenir aux normes du motu proprio Summorum Pontificum du pape Benoît XVI , car cela a apporté l’unité à l’Église. Lors d’une interview diffusée le 7 décembre sur la chaîne de télévision catholique allemande Katholisches Fernsehen (K-TV), Mgr Gänswein a souligné que la messe tridentine, qui a nourri la foi de l’Église pendant des siècles, ne saurait soudainement devenir invalide ou insignifiante. Il s’est interrogé sur les raisons pour lesquelles le pape François a promulgué Traditionis Custodes , alors que la majorité des évêques étaient satisfaits du motu proprioSummorum Pontificum de son prédécesseur. L’ancien secrétaire particulier du pape Benoît XVI a ensuite insisté sur le fait que Summorum Pontificum constituait la …
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié un document intitulé « Directives pour la prévention, le diagnostic et le traitement de l’infertilité ». C’est la première fois que l’OMS publie des directives sur ce sujet. L’insémination artificielle figure parmi les méthodes privilégiées. On peut formuler 3 critiques quant au contenu de ce document. La première concerne le principe selon lequel chacun a le droit de devenir parent : « Les individus et les couples ont le droit de décider du nombre, du moment et de l’espacement des naissances », peut-on lire dans les directives. Ce principe est désormais si répandu qu’il pourrait aisément figurer dans un document officiel de l’OMS. Or, ce principe est sans fondement. Nul ne peut revendiquer le droit d’avoir un enfant, car un enfant n’est pas un objet. Défendre un tel droit reviendrait à revendiquer un droit de propriété sur l’enfant, car si Jean et Jeanne ont droit à la parentalité, ce droit constitue une revendication …
A force de liturgies pauvres on a fait de pauvres chrétiens. Est-ce que le cardinal Cupich s'en rend compte? Le pire dans cette affaire c'est que quand on lit le decret de la nouvelle liturgie, on s'aperçoit qu'il n'y a que la communauté saint Martin et l'abbaye de Fontgombault qui l'ont appliquée.
Comment des catholiques new yorkais ont-il pu voter pour un un maire mahométan d'extrême gauche anti-catholique ? Un fidèle qui, en toute conscience et en toute liberté, accorde son suffrage à de mauvais candidats hostiles à la sainte religion, met son salut éternel en jeu.
"Comment" ? Mais, cher ami, lisez donc "Nostra Aetate" et "Dignitatis Humanae" (Vatican II) dont "ils" fêtent en ce moment les soixante ans : tout y est ! Et "saint" Jean-Paul II et tant d'autres ont bien enfoncé le clou (dans les Mains et les Pieds de Notre Seigneur Jésus-Christ) par leurs bisous publics et affectueux au coran (bouquin rempli de haine et de blasphèmes, ne l'oublions pas), leurs farandoles des religions "pour la Paix" et tous leurs monstrueux discours, écrits et agissements ! Kyrie Eleison !
La cour suprême américaine vient de trancher, les passeports devront indiquer le sexe à la naissance, masculin ou féminin, point ! Fini les sexes X, travelos, trans, non-binaires et autres absurdités.
L'abbé Horovitz s'étonne qu'on l'appelle très civilement « Monsieur », et non « Monsieur l'abbé ». Mais de quoi se plaint-il ? Je suis dans la Tradition et nous appelons nos prêtres « Monsieur l'abbé ». Le Concile ayant épousé les valeurs de la révolution, j'entends parfois les conciliaires appeler leurs prêtres par leur prénom, quand ce n'est pas en les tutoyant. Sous la révolution aussi, on interpelait grossièrement les gens « citoyen ! ». Les prêtres modernistes n'ont que ce qu'ils méritent. youtube.com/watch?v=Tcicub7pKTY
Pendant la Révolution Française, après 1792, il était d'usage dans le milieu révolutionnaire d'appeler les prêtres catholiques qu'ils soient défroqués, jureurs ou non jureurs (donc les bons et saints prêtres), "Citoyen" suivi du nom de famille.
L'abbé Machin, celui-là... Contredit sur YouTube, il prétend (sans rire !) que ce sont les prêtres ouvriers qui ont conduit à la fermeture des séminaires, des couvents et des églises... Pas le concile "pastoral" et ses applications rabiques mais officielles. Il est d'un simplisme à aller coucher dehors.
Pendant que l'Eglise de Vatican II ferme, vend ou démolit ses églises, la FSSPX en construit. Et pas des blockhaus de béton mais de vraies belles églises à l'architecture noble et traditionnelle.
Il est heureux que l'église sera consacrée à Notre-Dame Auxiliatrice. La dévotion à Notre-Dame Auxiliatrice était essentielle à la spiritualité de saint Jean Bosco et à la congrégation des Salésiens qu'il a fondée. La grande basilique de style baroque dédiée à Notre-Dame Auxiliatrice que Don Bosco fit construire à Turin à côté de l'Oratoire du Valdocco au milieu du 19e siècle, est le témoignage de l'importance de la piété envers Marie-Auxiliatrice.
La Vierge Marie co-rédemptrice et médiatrice de toute grâce. L'enseignement de Tucho s'oppose frontalement à l'enseignement constant des papes d'avant Vatican II.
Ils sacrifient toutes les grâces que la TSVM a mission de nous donner. Ils sacrifient le pont, la TSVM qui nous fait aller vivre de la Très sainte Eucharistie. Dieu a voulu que l'on passe par sa Fille, sa Mère, son Epouse inépousée. Refuser sa co-rédemption, c'est refuser son suffrage. C'est refuser le Glaive qui l'a transpercée, c'est appliquer leur nouveau Pater Noster qui refuse les Tentations, qui refusent le combat contre les forces du Mal, qui refusent le portement de Croix pour chacun d'entre nous. Refuser ce titre, c'est refuser la Miséricorde De Dieu dédiée à la TSVM, c'est faire obstacle à sa Miséricorde, c'est refuser son Coeur Sacré, son Sacré-Coeur. Leurs âmes sont dans un sale état !!!
De tout temps, avant le Concile, même les pauvres, à l'église, pouvaient accéder à la beauté, à la grandeur, à une liturgie transcendante, par la beauté architecturale, le latin, la noblesse des ornements, la splendeur du grégorien et du chant polyphonique. Cupich se félicite de ce que l'Eglise conciliaire ait tourné le dos à cet héritage inestimable.
Depuis qu’un pèlerinage du depuis Traditionis Custodes, ce qui prononça l’exorcisme de Léon XIIIaprès la fin de la messe. La messe traditionnelle était en 2021, par la volonté du Pape François, réduite à n’être plus qu’un tremplin vers le rite réformé de 1969, dit « de Paul VI ». Il était impossible désormais de le célébrer dans une église paroissiale. Il était interdit de lui faire de la publicité, on ne devait pas en multiplier les occurrences, et les prêtres diocésains ne devaient pouvoir le célébrer qu’avec l’autorisation expresse de Rome. La « messe de toujours » était tenue à l’écart, considérée comme porteuse d’une mystérieuse contagion maléfique, puisque tout dans le 4.000 personnes ont assisté à la messe traditionnelle dans Saint-Pierre La basilique Saint-Pierre, où des prêtres appartenant à des instituts ou des fraternités qui ont encore le droit de former à la célébration exclusive du rite traditionnel pouvaient jadis facilement le célébrer, les …
Léon XIV autorise à nouveau la Messe de toujours à Saint-Pierre de Rome dans le cadre du pèlerinage Summorum Pontificum. Signe de détente ? Analyse du Père Danziec.
Du père Danziec dans Valeurs actuelles : Hier, a été célébrée dans la basilique Saint-Pierre de Rome une messe en latin dans le rite traditionnel. Rassemblant une immense foule de fidèles, la cérémonie avait été permise par le pape Léon XIV. Signe d’une détente ? Ce matin, les quotidiens italiens La Verità et Il Tempo, pour ne parler que d’eux ; vendredi, une double page dans La Croix ;hier soir à la télévision, un sujet entier dans le journal de 20h de la Rai 1, équivalent transalpin à la chaîne France 2. Chacun de ces médias ont donné la part belle à un événement détonnant de ce début de pontificat du pape Léon XIV et qui laissera, probablement, plus de traces qu’un regard distrait et rapide ne saurait y songer. Ce samedi 25 octobre était en effet célébrée une messe traditionnelle, pontificale et solennelle, par le cardinal américain Raymond Burke sur l’autel de la chaire de Saint-Pierre, dans la basilique majeure du Vatican. Cette célébration en latin, selon la …
Affluence inattendue lors de la messe pontificale du pèlerinage Summorum Pontificum. « La fumée de l’encens peut à nouveau monter à Saint-Pierre, mais la fumée qui envahit l’Église est toujours celle de la confusion. »
Tandis que le pape prétend qu'un défenseur de l'enfant à naître ne peut se dire catholique à moins de s'opposer à la peine capitale, M. l'abbé de Lacoste rappelle l'enseignement constant (20 siècles !) de l'Eglise sur la question.
"L'Église, la guerre et la peine de mort" (article complet pour contrer la "désorientation diabolique" de notre temps et de ses papes sur la peine de mort ou la guerre). Extraits : "...Les discours et sermons pacifistes du démocrate-chrétien Marc Sangnier et du socialiste Jean Jaurès nous ont valu les hécatombes de 1914-1918; ceux d'Aristide Briand et de Pie XI nous ont menés au désastre de 1940 et l’Europe a compté soixante millions de morts ! Les rêveries montiniennes (Paul VI) et conciliaires (Vatican II) appellent, accélèrent, puis ensevelissent dans un silence complice les effroyables guerres et génocides du Vietnam, du Laos, de Timor et du Mozambique, de l’Angola, du Liban... La paix, un leurre ! (…) Comment sortir de cette machine à crimes, à violences, à guerres folles, qui s’appelle LE CULTE DE L’HOMME ? En retrouvant LE CULTE DE DIEU, du seul et unique Dieu Créateur et Maître de tous les hommes auxquels Il a donné vie, dignité, droits, non pas inamissibles, absolus …Plus