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L'éléphant dans la crise des abus est le clergé homosexuel - Bishop Eleganti

L'"éléphant dans la pièce" des affaires d'abus sexuels dans l'Église est la fréquence disproportionnée de l'homosexualité dans le clergé, a écrit l'évêque Marian Eleganti sur son blog.

Il affirme que des forces puissantes au sein de l'Église catholique tentent de normaliser l'homosexualité conformément à l'idéologie séculière du genre et qualifie de "virus" l'infiltration de l'idéologie du genre dans l'Église.

L'évêque se réfère à plusieurs études sur les abus, telles que le rapport John Jay, l'étude MHG et l'enquête CIASE, qui montrent que 80 % des agressions sexuelles commises par des membres du clergé concernent des victimes de sexe masculin ayant atteint la maturité sexuelle.

Il ajoute que le Vatican occulte systématiquement la question de "l'homosexualité dans le clergé" en classant la plupart des cas d'abus dans la catégorie "pédophilie". En réalité, compte tenu du choix des victimes, les cas d'abus relèvent de l'"éphébophilie", c'est-à-dire de l'intérêt homosexuel pour des jeunes hommes adolescents.

Monseigneur Eleganti souligne également que, bien que le document du Vatican Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (2016) exclue les hommes homosexuels de la prêtrise, cela n'est pas appliqué dans la pratique.

Il insiste sur le fait que la doctrine de l'Église sur la sexualité reste inchangée et qu'elle est fondée sur les Écritures et la nature. Les corps masculin et féminin sont complémentaires et orientés vers l'union et la procréation, tandis que les actes homosexuels contredisent l'ordre naturel et divin.

Enfin, il affirme que les relations sexuelles axées uniquement sur le plaisir conduisent au malheur personnel et à la décadence morale.

Traduction de l'IA
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«Il affirme que des forces puissantes au sein de l'Église catholique tentent de normaliser l'homosexualité conformément à l'idéologie séculière du genre et qualifie de "virus" l'infiltration de l'idéologie du genre dans l'Église.» (citation de l'article)
Problème : parler de «forces impersonnelles» (l'électricité, le vent ?) ou l'action d'un virus dépourvu de volonté propre. L'analogie n'est pas bonne. Le problème ne tient pas à des forces ou à un virus mais bien à des personnes qui ne sont pas catholiques tout en paraissant appartenir à l'Église et qui veulent éliminer l'enseignement traditionnel de l'Église et condamner ce que l'Église croyait jadis. Comme disait Pie X avec raison : les idées ne sont rien sans des personnes pour les porter.

Déjà le bon Benoît XVI 😇 avait dû s'opposer à ces saboteurs infiltrés dans l'Eglise, d'où les oppositions virulentes rencontrées par ce pontife, dans et hors de notre Eglise.
Ces opposants sont... soit décidés aux sabotages divers et variés, soit obsédés par les bas-fonds, soit les deux éléments réunis.

steack shares this

Mgr Eleganti était l'évêque auxiliaire de Coire en Suisse et il a préféré démissionner quand son pape y a nommé en remplacement de Mgr Huonder le très progressiste Mgr Bonnemain de l'Opus Dei.

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L'éléphant dans la maison de l'Église, c'est l'antipape Prevost que Mgr Eleganti appelle Pape.

Merci Monseigneur.

Panetier

Il aborde deux sujets à la fois et c'est maladroit. On pourrait en déduire que le prêtre peut prétendre à la sexualité dans une complémentarité homme-femme.