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La STAMPA : INTERVIEW de FRANÇOIS (traduction française)

Album ACTU
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme François l'est, concluez !

* * *

[Quand deux fous dialoguent,
Forcément on rigole...
Dig-Ding-Dong !!!

J'ai traduit c'te truc en une demie-heure
Sans ma casser le cibouleau
Tellement c'est zéro.]


Le PAPE FRANÇOIS MET EN GARDE CONTRE le SOUVERAINISME :
« Il CONDUIT à la GUERRE »


Dans un entretien, le pontife dit : « L’Europe ne doit pas se désagréger, elle doit être sauvée, elle a des racines humaines et chrétiennes. » « Ursula von der Leyen peut ranimer la force des Pères Fondateurs. »

Domenico Agasso, La Stampa, 9 août 2019


CITÉ DU VATICAN. Le Pape ouvre la porte à l’heure, à 10h30, avec un sourire aimable sur le visage. Il nous conduit à l’une des pièces qu’il utilise pour accueillir les invités. La pièce n’a ni fioritures, ni décorations, ni luxe. Elle est simplement ornée d’un crucifix accroché au mur. Nous sommes entrés par l’accès Perugino, le plus proche de Santa Marta. On retrouve le scénario habituel : des clercs, des gendarmes et des gardes suisses. Le Dôme de Saint-Pierre apparaît à l’arrière-plan. Au Vatican, l’activité quotidienne est plus lente au milieu de la chaleur estivale et des vacances. C’est le 6 août, 41e anniversaire de la mort de saint Paul VI, le pontife dont François se sent particulièrement proche. « En ce jour, j’essaie toujours de trouver un moment pour descendre dans les grottes sous la Basilique et y rester, seul, dans la prière et le silence devant sa tombe. C’est bon pour mon cœur », dit-il. Les brèves plaisanteries laissent rapidement la place à une conversation intense.

François est joyeux et détendu. Il est concentré. Sa capacité d’écoute est impressionnante. Il me regarde toujours dans les yeux. Il ne regarde jamais l’horloge. Il prend son temps avant de parler d’une question délicate. Il parle de l’Europe, de l’Amazonie et de l’environnement. Notre conversation est intense et ininterrompue. Le Pape ne boit même pas une gorgée d’eau. Quand on la lui montre, il hausse les épaules et répond en souriant : « Je ne suis pas le seul à ne pas avoir bu. »

Votre Sainteté, vous espérez que « l’Europe soit à nouveau le rêve des Pères Fondateurs ». Quelles sont vos attentes ?

« L’Europe ne peut et ne doit pas s’effondrer. C’est une unité historique, culturelle et géographique. Le rêve des Pères Fondateurs avait de la substance parce qu’il était une réalisation de cette unité. Maintenant, nous ne devons pas perdre cet héritage. »

Comment voyez-vous les choses aujourd’hui ?

« Cette unité s’est affaiblie au fil des ans, en partie à cause de problèmes administratifs et de désaccords internes. Mais il faut la sauver. Après les élections, j’espère qu’un processus de relance commencera et se poursuivra sans interruption. »

Êtes-vous heureux qu’une femme ait été nommée présidente de la Commission européenne ?

« Oui, aussi parce qu’une femme peut être la bonne personne pour raviver la force des Pères Fondateurs. Les femmes savent rassembler, unir les gens. »

Quels sont les principaux défis ?

« Un défi avant tout : le dialogue. Entre les partis, entre les gens. La pensée doit être « l’Europe d’abord, puis chacun de nous ». « Chacun d’entre nous » n’est pas secondaire, c’est important, mais l’Europe compte plus. Dans l’Union Européenne, nous devons nous parler, nous confronter et apprendre à nous connaître. Pourtant, nous ne voyons parfois que des monologues de compromis. Non : nous devons aussi écouter. »

De quoi a besoin le dialogue ?

« Nous devons partir de notre propre identité. »

Les identités : quelle est leur importance ? Une défense excessive des identités peut-elle conduire à un risque d’isolement ? Comment réagissons-nous aux identités qui génèrent l’extrémisme ?

« Laissez-moi vous donner l’exemple du dialogue œcuménique : Je ne peux pas faire de l’œcuménisme si je ne pars pas de mon état de catholique, et l’autre qui fait de l’œcuménisme avec moi doit le faire en tant que protestant, orthodoxe.... Notre propre identité n’est pas négociable, elle s’intègre. Le problème avec les exagérations est que nous isolons notre propre identité au lieu de nous ouvrir. L’identité est une richesse - culturelle, nationale, historique, artistique - et chaque pays a la sienne, mais elle doit être intégrée au dialogue. C’est crucial : à partir de notre propre identité, nous devons nous ouvrir au dialogue afin de recevoir quelque chose de plus grand de l’identité des autres. N’oubliez jamais que « le tout est plus grand que les parties ». La mondialisation, l’unité, ne doit pas être conçue comme une sphère, mais comme un polyèdre : chaque peuple conserve son identité en unité avec les autres. »

Quels sont les dangers des idéologies souverainistes ?

« Le souverainisme révèle une attitude envers l’isolement. Je suis inquiet parce que nous entendons des discours qui ressemblent à ceux d’Hitler en 1934. « Nous d’abord, nous... nous... » : ce sont des pensées effrayantes. Le souverainisme signifie être fermé. Un pays devrait être souverain mais non fermé. La souveraineté doit être défendue, mais les relations avec les autres pays, avec la communauté européenne doivent également être protégées et promues. Le souverainisme est une exagération qui finit toujours mal : il mène à la guerre. »

Et le populisme ?

« Même chose. Au début, j’ai lutté pour le comprendre parce que lorsque j’étudiais la théologie, j’ai fait des recherches sur le concept de popularisme, c’est-à-dire la culture du peuple : mais une chose est que les gens s’expriment, et une autre est d’imposer une attitude populiste au peuple. Le peuple est souverain (il a sa façon de penser, de sentir, d’évaluer, de s’exprimer), tandis que les mouvements populistes conduisent à des formes de souverainisme : ce suffixe, « isme », n’est jamais bon. »

Quelle est la bonne voie à suivre en ce qui concerne les migrants ?

« Tout d’abord, ne négligez jamais le droit le plus important de tous : le droit à la vie. Les immigrants viennent ici surtout pour fuir la guerre ou la faim, du Moyen-Orient et de l’Afrique. En temps de guerre, nous devons nous engager et nous battre pour la paix. La faim touche principalement l’Afrique. Le continent africain est victime d’une malédiction cruelle : dans l’imaginaire collectif, il semble que ce continent doive être exploité. Au lieu de cela, une partie de la solution est d’investir là pour aider à résoudre leurs problèmes et ainsi arrêter les flux migratoires. »

Mais quand ils arriveront, comment devrons-nous nous comporter ?

« Les critères doivent être respectés. Premièrement : recevoir, qui est aussi un devoir chrétien et évangélique. Les portes doivent être ouvertes et non fermées. Deuxièmement : accompagner. Troisièmement : promouvoir. Quatrièmement, l’intégration. En même temps, les gouvernements doivent penser et agir avec prudence, ce qui est une vertu des gouvernements. Les responsables sont appelés à réfléchir au nombre de migrants qu’ils peuvent accueillir. »

Que se passe-t-il si leur nombre est supérieur à la possibilité de les accueillir ?

« La situation peut être résolue par le dialogue avec d’autres pays. Certains États ont besoin de gens, je pense à l’agriculture. J’ai vu que récemment, face à une situation d’urgence, quelque chose de semblable s’est produit : cela me donne de l’espoir. Et puis, savez-vous ce qui serait utile d’autre aussi ? »

Quoi ? Quoi ?

« Créativité. Par exemple, ils m’ont dit que dans un pays européen, il y a des villes à moitié vides à cause du déclin démographique : certaines communautés de migrants pourraient y être déplacées, ce qui pourrait, entre autres choses, relancer l’économie de la région. »

Sur quelles valeurs communes l’UE devrait-elle être relancée ? L’Europe a-t-elle encore besoin du christianisme ? Et dans ce contexte, quel rôle jouent les orthodoxes ?

« Le point de départ et la relance sont les valeurs humaines, les valeurs de la personne humaine. Avec les valeurs chrétiennes : L’Europe a des racines humaines et chrétiennes, l’histoire nous le dit. Et quand je dis cela, je ne sépare pas les catholiques, les orthodoxes et les protestants. Les orthodoxes ont un rôle très précieux pour l’Europe. Nous partageons tous les mêmes valeurs fondatrices. »

Idéalement, traversons l’océan et pensons à l’Amérique du Sud. Pourquoi avez-vous convoqué un Synode sur l’Amazonie au Vatican en octobre ?

« C’est « l’enfant » du "Laudato si". Ceux qui ne l’ont pas lu ne comprendront jamais le Synode sur l’Amazonie. Laudato si’ n’est pas une encyclique verte, c’est une encyclique sociale, qui se base sur une réalité "verte", la garde de la Création. »

Y a-t-il un épisode significatif pour vous ?

Il y a quelques mois, sept pêcheurs m’ont dit : « Ces derniers mois, nous avons collecté 6 tonnes de plastique. » L’autre jour, j’ai lu un article sur un immense glacier en Islande qui a presque complètement fondu : ils ont construit un mémorial pour lui. Avec les feux de forêt de la Sibérie, certains glaciers du Groenland ont fondu. Les gens d’un pays du Pacifique s’éloignent parce que, dans 20 ans, l’île où ils vivent ne sera plus là. Mais le fait qui m’a le plus choqué est autre.

Lequel ?

« Le jour des dépassements : Le 29 juillet, nous avons épuisé toutes les ressources renouvelables de 2019. A partir du 30 juillet, nous avons commencé à consommer plus de ressources que la planète ne peut en régénérer en un an. C’est très sérieux. C’est une urgence mondiale. Notre Synode sera un Synode urgent. Mais attention : un Synode n’est pas une rencontre de scientifiques ou de politiciens. Ce n’est pas un parlement, c’est autre chose. Il a été convoqué par l’Église et aura une mission et une dimension évangélisatrices. Ce sera une œuvre de communion guidée par l’Esprit Saint. »

Mais pourquoi se concentrer sur l’Amazonie ?

« C’est une place représentative et décisive. Avec les océans, elle contribue de manière décisive à la survie de la planète. Une grande partie de l’oxygène que nous respirons vient de là. C’est pourquoi la déforestation signifie tuer l’humanité. Et puis l’Amazonie implique neuf états, donc ça ne concerne pas une seule nation. Et je pense à la richesse de la biodiversité végétale et animale amazonienne : c’est merveilleux. »

Le Synode discutera aussi de la possibilité d'ordonner des "viri probati", des hommes âgés et mariés qui peuvent compenser le manque de prêtres. Sera-t-il l’un des thèmes principaux ?

« Absolument pas : c’est simplement un sujet de l’Instrumentum Laboris (le document de travail). L’important sera les ministères d’évangélisation et les différentes manières d’évangéliser. »

Quels sont les obstacles à la sauvegarde de l’Amazonie ?

« La menace qui pèse sur la vie des populations et sur la terre découle des intérêts économiques et politiques des secteurs dominants de la société. »

Alors, comment les politiciens doivent-ils se comporter ?

« Ils devraient éliminer leur connivence et leur corruption. Ils doivent prendre des responsabilités concrètes, par exemple en ce qui concerne les mines à ciel ouvert, qui empoisonnent l’eau et causent tant de maladies. Ensuite, il y a la question des engrais. »

Votre Sainteté, que craignez-vous le plus pour notre planète ?

« La disparition de la biodiversité. Les nouvelles maladies mortelles. Une dérive et une dévastation de la nature qui peut conduire à la mort de l’humanité. »

Voyez-vous une nouvelle prise de conscience sur la question de l’environnement et du changement climatique ?

« Oui, surtout dans les mouvements de jeunes écologistes, comme celui mené par Greta Thunberg, "Fridays for future". J’ai vu un signe de ceux qui m’ont frappé : « Nous sommes l’avenir ! ». »

Notre comportement quotidien - séparer la collecte des déchets, ne pas gaspiller l’eau à la maison - peut-il avoir un impact ou est-il insuffisant pour contrer ce phénomène ?

« Il a un impact, car il s’agit d’actions concrètes. Et puis, surtout, il crée et diffuse la culture de ne pas salir la création. »

>>> GRETA THUNBERG PROMEUT AUSSI les ANTIFAS et les LGBT

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tintine
Je réponds un peu longuement à ce texte (excuses) , donc au Pape s’il a vraiment dit cela, ou au traducteur s’il a mal traduit les propose du Pape ; ce qui serait très pervers de sa part, bien que je préférerais qu’il s’agisse de cela !
Je vois dans ces réponses surtout un discours de politicien, dans lequel Dieu est absent ou ignoré. Je voudrais, avec mes humbles facultés, rendre sa place, …More
Je réponds un peu longuement à ce texte (excuses) , donc au Pape s’il a vraiment dit cela, ou au traducteur s’il a mal traduit les propose du Pape ; ce qui serait très pervers de sa part, bien que je préférerais qu’il s’agisse de cela !
Je vois dans ces réponses surtout un discours de politicien, dans lequel Dieu est absent ou ignoré. Je voudrais, avec mes humbles facultés, rendre sa place, son trône au Seigneur (en vert) .

Votre Sainteté, vous espérez que « l’Europe soit à nouveau le rêve des Pères Fondateurs ».
Le rêve des Pères Fondateurs avait de la substance car il était une réalisation de l’unité voulue par Dieu. Unité affaiblie surtout à cause de l’effondrement de l’Eglise catholique et de ses ennemis contre lesquels elle s’est mal défendue dans le passé, et auxquels elle se livre actuellement.

Êtes-vous heureux qu’une femme ait été nommée présidente de la Commission européenne ?
Femme ou homme, peu importe, car la seule bonne personne capable de raviver la force de nos Pères ne peut être que l’Esprit Saint.

Quels sont les principaux défis ?
Le défi avant tout et le seul, c’est remettre le Christ sur son trône , de se battre pour la royauté de Jésus, d’où dialogues et écoute: je peux être d’accord sur les moyens envisagés ici, pas sur les buts; d’accord, pas pour sauver l’union européenne, mais pour retrouver une Europe Chrétienne, et même catholique, car je le suis.

Les identités : quelle est leur importance ? Une défense excessive des identités peut-elle conduire à un risque d’isolement ? Comment réagissons-nous aux identités qui génèrent l’extrémisme ?
Mon identité ne peut s’intégrer à rien d’autre qu’en Christ parce qu’elle n’est pas négociable; quand on est catholique, on ne négocie pas la liturgie, pas les dogmes maintenant mis à mal (de la transsubstantiation, de l’Immaculée Conception et de Marie toujours Vierge, jusqu’à la Trinité et la Résurrection de Notre Seigneur !). Dogmes que nous devons défendre avec douceur, certes, mais grande fermeté. Et dogmes que, depuis le dernier concile, les Papes ont négociés. J’en déduis que l’ identité de celui qui parle là n’est plus la mienne.
Parlons donc de l’identité catholique ; pour l’identité de chaque peuple, je laisse les politiques jouer avec !

Quels sont les dangers des idéologies souverainistes ? Et le populisme ?
Pourquoi ne pas crier au monde que notre souverain est le Christ, que pour son Royaume, oui, nous sommes sans concessions souverainistes ?
Et si les …ismes sont dangereux, comment allez-vous renommer le catholic…isme ? Ah oui, c’est une identité qui devrait disparaître pour se fondre, avec le prostant … isme et l’orthodox … isme , dans le christian … isme . Pardon, la chrétienté sans ‘isme’ !

Quelle est la bonne voie à suivre en ce qui concerne les migrants ? Mais quand ils arriveront, comment devrons-nous nous comporter ? Que se passe-t-il si leur nombre est supérieur à la possibilité de les accueillir
Les causes migratoires sont loin de se limiter à la guerre et à la faim, ce qui porte atteinte à ceux qui viennent pour fuir un réel danger. Quant à la malédiction cruelle du continent africain, elle n’a rien d’une malédiction ni d’une fatalité, mais tout à voir avec du pillage et de la corruption de la part des dirigeants (aussi bien des pays pillés et exploités que de ceux des pays exploiteurs) ; le problème ne vient pas des peuples, mais de leurs politiciens et des puissances d’argent qui les dirigent ; et vouloir faire porter cette responsabilité sur la population des pays européens va tout rendre infernal, car au rythme où cela va, nous serons bientôt tous le prochain du prochain du prochain du prochain … sans aucun moyens pour … le prochain ! Car comment recevoir les migrants si je n’en ai pas les moyens, et alors même que leur arrivée me laisse aussi sans ressources ? Pour la solution donc , c’eût été bien de la souffler plus vite aux oligarques qui abusent au lieu de commencer par affamer et terroriser l’Europe pour des résultats catastrophiques: personne n’y gagne, ni nous, ni les migrants qui n’y ont d’avenir que l’esclavage.
Si le devoir de recevoir est évangélique, et il l’est si on en a les moyens, il faut donc non seulement accompagner, intégrer, mais surtout évangéliser.
Et si certains états ont besoin de gens, que répondez-vous aux cardinaux Robert Sarah ou Peter Turkson qui appellent au secours, car leur pays a besoin de ses hommes?
Vous nous incitez à la créativité ; je rétorque c’est une réponse de politicien, à laquelle je réponds à mon tour ‘création de Dieu’, car le déclin démographique est dû, entre autres choses, aux avortements qui s’attaquent à la Création du Seigneur en mettant à mort ses créatures.

Sur quelles valeurs communes l’UE devrait-elle être relancée ? L’Europe a-t-elle encore besoin du christianisme ?
Ne parlons pas des valeurs de la personne humaine, portées par des idéologies anti-chrétiennes, à commencer par ’les droits de l’homme’ . Tout ce qu’a l’homme lui vient de Dieu, c’est Dieu qui lui donne sa valeur et elle est infinie, car Dieu l’a créé pour sa Gloire. Toute tentative de lui donner une autre évaluation aboutit à sa marchandisation (s’il a de la valeur) ou à sa mise à mort (s’il n’a pas de valeur) : exit les droits !
Mais il faut parler des valeurs humaines, ce qui, sauf votre respect, n’est pas pareil, et qui nous sont dictées par la loi naturelle si on n’est pas chrétien (suffit de lire le Décalogue) et infiniment mieux par Jésus (suffit de lire l’Evangile ).
Ne pas séparer politiquement les catholiques, les protestants, et les orthodoxes, c’est encore une réponse de politicien. Mais, si on est Pape, ne peut-on pas dire que tout le monde a besoin du ... catholicisme (y compris Israël, l’Islam, l’Inde etc etc.), et que c’est cela que l’Église du Christ offre au monde ?

Pourquoi avez-vous convoqué un Synode sur l’Amazonie au Vatican en octobre ?
Bravo pour la garde de la Création, mais ce ne sont pas les politiques, aussi ‘verts’ soient-ils, qui ont la réponse: lisons plutôt l’Evangile, elle y est.
Le synode « aura une mission et une dimension évangélisatrices. Ce sera une œuvre de communion guidée par l’Esprit Saint »: Enfin une mention de Dieu ! voilà qui fait chaud à l’âme

Le Synode discutera aussi de la possibilité d'ordonner des "viri probati"
Si c’est un sujet du document de travail, je ne comprends pas comment on peut répondre : « absolument pas ». Cela ne me paraît pas clair : un peu comme si on voulait, en parlant d’autre chose d’important (l’évangélisation), minimiser la valeur du célibat des prêtres et faire passer en douce son abolition ? On a parlé ici beaucoup des valeurs humaines : qu’en est-il des valeurs catholiques ?

Quels sont les obstacles à la sauvegarde de l’Amazonie ? Alors, comment les politiciens doivent-ils se comporter ?
Je n’y vois pas d’appel à la prière, à la repentance et à la miséricorde divine.

Votre Sainteté, que craignez-vous le plus pour notre planète ?
C’est vrai que l’état de notre terre fait peur, mais je crains plus la mort spirituelle des hommes, parce que l’avenir de la planète est maintenant dans les mains de Dieu, et je ne peux m’empêcher de penser que ce qui pourrait lui arriver de mieux, c’est une fin des temps: cessation des offenses faites à Dieu, cessation des souffrances des hommes et jugement ! Maranatha ! Mais faites excuses, cela ne sera pas la mort de l’humanité ; nous sommes tous créés pour la vie éternelle dont l’accès nous a été re-rendu possible par le sacrifice du Christ, sa mort et sa résurrection. Nous ressusciterons donc tous corps et âmes au jour du jugement, pour vivre éternellement avec Dieu en son paradis, ou avec Satan en enfer. Il y a déjà corps et âme un homme au paradis, Jésus, et une femme, Marie ; et parler de la mort de l’humanité, c’est pour moi comme nier la volonté divine, je crois même que cela reviendrait à nier Dieu.

Voyez-vous une nouvelle prise de conscience sur la question de l’environnement et du changement climatique ? Notre comportement quotidien - séparer la collecte des déchets, ne pas gaspiller l’eau à la maison - peut-il avoir un impact ou est-il insuffisant pour contrer ce phénomène ?
Moi, j’y vois surtout un signe de la manipulation des écologistes (conscientes ou non) sur nos … consciences !

Si en disant ce que je dis, j’ai tort, et si cela blesse Monseigneur, s’il ne me le fait savoir qu’à ma mort, j’en suis désolée. Mais ici-bas, sans autre éclairage que mon catéchisme (de saint Pie X), je maintiens !
ne nous laissez pas succomber
@shazam , Et Saint PAUL n'a jamais dit fermer votre PORTE à ceux qui ne vous plaisent ou ne pense pas comme vous , hé fabuleux Catholiques
que les gens comme VOUS .Pharisiens OUI ce c'est sur .
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