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Peine de mort : Le cardinal Schönborn accuse Jean-Paul II

Lors d'une homélie pour la fête du Très Saint Nom de la Bienheureuse Vierge Marie dans la cathédrale de Vienne (15 septembre), le militant gay Christoph Schönborn, qui est également cardinal, a commencé à parler de la peine capitale.

Schönborn prétendait que la peine de mort "contredit la dignité humaine" - bien que Dieu l'ordonne dans la Bible. Puis il a justifié la décision de François de "changer" le Catéchisme de l'Église catholique concernant la peine de mort.

Il s'est même étonné que François, par cette décision, " ait enfin réalisé un vœu profond du Pape Jean-Paul II " [Jean-Paul II n'aurait-il donc pas pu le faire tout seul s'il l'avait voulu ?!].

Schönborn fut le secrétaire de rédaction du Catéchisme préparé par le cardinal Joseph Ratzinger.

Image: Christoph Schönborn, #newsMoyoinzljm
GChevalier
Ces traîtres de conciliaires sont contre la peine de mort mais pour l'avortement, preuve que ce sont eux qui méritent la guillotine, ce que va bientôt éprouver le dit Schönborn car il a le cancer, et une fois en enfer, tous les diables viendront lui couper la tête et le mettre en morceaux, et ceci à chaque minute pendant toute l'éternité ! La vie est belle ? Y'a d'la joie !
jean pierre aussant
Saint Jean-Paul II était conciliaire et il a quand même passé son pontificat à dénoncer l'assassinat légal des enfants à naître. Attention de ne pas tout mélanger
Sylvanus
@GChevalier IVG : le pape François déclare que l'avortement s'apparente au recours à un "tueur à gages"
Ce que dit le pape [mercredi 10 octobre 2018]
"Chers frères et sœurs, bonjour !
Aujourd’hui notre catéchèse portera sur le cinquième commandement : Tu ne tueras point. Nous sommes déjà dans la deuxième partie du Décalogue, celle qui concerne les rapports avec son prochain ; et ce commandement …Plus
@GChevalier IVG : le pape François déclare que l'avortement s'apparente au recours à un "tueur à gages"
Ce que dit le pape [mercredi 10 octobre 2018]
"Chers frères et sœurs, bonjour !
Aujourd’hui notre catéchèse portera sur le cinquième commandement : Tu ne tueras point. Nous sommes déjà dans la deuxième partie du Décalogue, celle qui concerne les rapports avec son prochain ; et ce commandement, par sa formulation concise et catégorique, se dresse telle une muraille pour défendre la valeur fondamentale qui prévaut dans les rapports humains. Et quelle est la valeur fondamentale qui prévaut dans les rapports humains ? C’est la valeur de la vie. C’est pourquoi tu ne tueras point.
On pourrait même dire que tout le mal qui existe dans le monde se résume à cela : le mépris pour la vie. La vie est attaquée de multiples manières : par les guerres, par les organisations qui exploitent l’homme – tout ce qu’on lit dans les journaux ou que l’on voit à la télévision –, par les spéculations sur la création et la culture du déchet, et par tous les systèmes qui soumettent l’existence humaine à des calculs opportunistes. Alors que pendant ce temps un nombre scandaleusement élevé de personnes vit dans un état indigne de l’être humain. Tout cela, c’est mépriser la vie. Ce qui signifie, en quelque sorte, tuer..
Dans une démarche pleine de contradiction, on permet aussi, au nom de la défense d’autres droits, la suppression de la vie humaine dans le sein maternel. Mais comment peut-on qualifier de thérapeutique, de civilisé ou même d’humain, un acte qui supprime la vie innocente et sans défense en train d’éclore ? Je vous le demande : est-il juste « d’éliminer » une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste de recourir à un tueur à gage pour résoudre un problème ? Ce n’est pas possible, ce n’est pas juste « d’éliminer » un être humain, même petit, pour résoudre un problème. C’est comme si l’on faisait appel à un tueur à gage pour résoudre un problème.
Or d’où vient tout cela ? D’où viennent fondamentalement la violence et le refus de la vie ? Ils viennent de la peur. L’accueil de l’autre, en effet, est un défi à l’individualisme. Pensons, par exemple, aux situations où l’on découvre qu’une vie naissante est porteuse de handicap, même grave. Les parents, dans ces cas dramatiques, ont besoin de la proximité des autres, d’une véritable solidarité, pour affronter la réalité et surmonter leurs peurs compréhensibles. Or souvent ils reçoivent au contraire des conseils empressés d’interrompre la grossesse, ce qui en fait est une façon de parler. Car « interrompre la grossesse », c’est une manière de dire « éliminer quelqu’un », tout simplement.
Un enfant malade est comme tout homme dans le besoin sur la terre, comme une personne âgée qui a besoin d’assistance, comme tant de pauvres qui ont du mal à s’en sortir : celui qui semble être un problème, est en réalité un don de Dieu qui peut me faire sortir de mon égoïsme et me faire grandir dans l’amour. Les vies fragiles nous indiquent le chemin pour échapper à une existence repliée sur elle-même et découvrir la joie de l’amour. Et ici je voudrais m’arrêter pour remercier tous les bénévoles, remercier tous ceux qui sont impliqués dans le bénévolat en Italie. C’est le bénévolat le plus important que j’aie jamais connu. Merci à vous.
Or qu’est-ce qui conduit l’homme à refuser la vie ? Ce sont les idoles de ce monde : l’argent – mieux vaut se débarrasser de cela parce que cela va coûter cher –, le pouvoir, la réussite. Or ce sont des critères erronés pour mesurer la valeur de la vie. Car quelle est l’unique mesure authentique de la vie ? C’est l’amour, l’amour avec lequel Dieu aime la vie ! L’amour avec lequel Dieu l’aime : voilà comment en mesurer la valeur. Par l’amour avec lequel Dieu aime toute vie humaine.
En effet, quel est le sens positif du commandement « Tu ne tueras point » ? C’est que Dieu est « celui qui aime la vie » comme nous avons entendu tout à l’heure dans la Lecture.
Le secret de la vie nous est dévoilé par la manière dont le fils de Dieu l’a traitée, en se faisant homme au point de porter, sur la croix, le mépris, la fragilité, la pauvreté et la douleur (cf. Jn 13, 1). En tout enfant malade, en toute personne âgée affaiblie, en tout migrant désespéré, en toute vie fragile et menacée, le Christ nous cherche (cf. Mt 25, 34-46), il cherche notre cœur, pour nous ouvrir à la joie de l’amour.
Cela vaut la peine d’accueillir toute vie car tout homme vaut le sang du Christ lui-même (cf. 1 P 1, 18-19). On ne peut mépriser ce que Dieu a tant aimé !
Nous devons dire aux hommes et aux femmes de notre monde : ne méprisez pas la vie ! la vie d’autrui, mais aussi la vôtre, car le commandement « Tu ne tueras point » vaut aussi pour celle-ci. Il faut dire à tous les jeunes : ne méprise pas ta vie ! Cesse de refuser l’œuvre de Dieu ! Tu es une œuvre de Dieu ! Ne te sous-évalue pas, ne te méprise pas par les addictions qui te mèneront à la ruine et à la mort !
Que personne ne mesure la valeur de la vie selon les leurres de ce monde, mais que chacun s’accueille lui-même et accueille les autres au nom du Père qui nous a créés. Il est « celui qui aime la vie » : voilà qui est beau. « Dieu est celui qui aime la vie ». Et nous avons tous tant de prix à ses yeux qu’il a envoyé son fils pour nous. « Car Dieu – dit l’Évangile – a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle » (Jn 3, 16)."
GChevalier
@jean pierre aussant
Jean-Paul II qui est en enfer voit maintenant ce qu'il en est des enfants à naître et qui sont avortés, lui qui disait dans sa première encyclique que tout homme est uni au Christ dès sa conception et pour toujours, reprenant ainsi l'enseignement hérétique de Vatican II dans Gaudium et Spes.
Mais cela, personne ne le comprend,
Tellement l'aveuglement est grand :
N'est-ce …Plus
@jean pierre aussant
Jean-Paul II qui est en enfer voit maintenant ce qu'il en est des enfants à naître et qui sont avortés, lui qui disait dans sa première encyclique que tout homme est uni au Christ dès sa conception et pour toujours, reprenant ainsi l'enseignement hérétique de Vatican II dans Gaudium et Spes.
Mais cela, personne ne le comprend,
Tellement l'aveuglement est grand :
N'est-ce pas la grande Apostasie annoncée par St Paul ?
Sylvanus
@GChevalier Bonsoir. Serait-il possible d'avoir la citation de "Dives in misericordia" de saint Jean Paul II, à laquelle vous semblez vous référer? Bien à vous. Sylvanus
GChevalier
"Redemptor hominis"
Thierry73
@GChevalier Saint Jean-Paul II en enfer ? Mais pour qui vous prenez-vous ?
AveMaria44
🤮 🤮 🤮
magofio
et les victimes alors ? c'est un chatiment pour qu'il y ait moins de crimes et de victimes...
sinon tout est permis,les chatiments empechents l'acte ,ca les faits reflechir ..c'est indispensable d'etre sévère et de chatier les criminels : ils tuent leurs enfants et bien qu'on leur fasse pareil à ces monstres qui ne meritent plus de vivre chez les humains.