Même du point de vue de sa propre pensée (évidemment faillible), j’ai du mal à comprendre en ce domaine (comme dans quelques autres) la cohérence de la pastorale du pape François qui me semble en soi contradictoire. Car d’un côté il peut dire : « Le problème n'est pas d'avoir cette tendance, c'est de faire du lobbying. C'est le problème le plus grave selon moi. Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? », et de l’autre côté il soutient publiquement un prêtre qui se montre très complaisant vis-à-vis des groupes de pression LGBT. Voir aussi l'apparente contradiction avec ses paroles ayant sous-entendu l'existence d'un problème psychologique dans l'homosexualité.

Le Bon Dieu a tellement en horreur cette abomination cauchemardesque qu'est l'homosexualité que NUL PART dans les saints Evangiles il n'en est fait mention. Notre Seigneur Jésus n'hésite pourtant pas à appeler un chat un chat, une prostituée une prostituée ( et ainsi des autres pécheurs ) mais JAMAIS il n'évoque l'inversion impure : et ce n'est que justice, puisque son Évangile est destiné à être entendu par les oreilles innocentes et pures des petits enfants.
Dans quel précipice François et sa bande sont-ils en train de tomber ! Puisse Dieu avoir pitié de leurs âmes.